Notice d'autorité : Compagnie nationale Air France (1933-....)

Autres noms :

  • Air France (17/08/1933-31/12/1946)
  • Société Nationale Air France ( 1/01/1946-31/12/1948)
  • Compagnie nationale Air France ( 1/01/1948-31/12/1990)
  • Groupe Air France ( 1/01/1990-31/12/1998)
  • Société Air France ( 1/01/1998-31/12/2004)
  • Groupe Air France-KLM ( 1/01/2004)
  • AF : Code IATA (Association internationale du transport aérien), IATA Accounting Code: 057
  • AFR : Code ICAO (Organisation de l'Aviation Civile Internationale), IATA Prefix Code: 057
  • Airfrans : ICAO Indicatif d’appel (radio)

Lieu :

Lieu général

  • Aéroport Charles de Gaulle (nomLieu)
  • Roissy-en-France (Val-d'Oise) (lieu)

Lieu général

  • Aéroport d'Orly (nomLieu)
  • Orly (Val-de-Marne) (lieu)

Lieu de Paris

  • Marbeuf (rue) (voie)
  • Rue Marbeuf (nomLieu)

Lieu de Paris

  • Max-Hymans (square) (voie)
  • Sqaure Max-Hymans (nomLieu)

Lieu général

  • Trembaly-en-France (nomLieu)
  • Tremblay-en-France (Seine-Saint-Denis) (lieu)

Fonctions :

  • transports

Statuts juridiques :

société commerciale

Histoire :

- Les « années héroïques »

Dans le cadre de la première grande restructuration du transport aérien commercial français des années 1930, la société privée Air France naît officiellement le 17 août 1933 du regroupement de cinq sociétés de transporteurs aériens : Air Orient, Air Union, la Compagnie internationale de navigation aérienne (CIDNA), les lignes Farman et l'Aéropostale. L’inauguration officielle se déroule le 7 octobre 1933 à l’aéroport du Bourget, en présence du ministre de l’Air, Pierre Cot. L’« Hippocampe ailé » devient l’emblème de la compagnie dont le réseau aérien et la flotte sont modernisés.

Contrainte à réduire son activité durant la Seconde Guerre mondiale, la jeune compagnie devient propriété de l'Etat en 1946, se nommant désormais Société nationale Air France. Rapidement, l’ensemble du réseau aérien français lui est attribué et devient une grande compagnie aérienne mondiale. En effet, Air France dessert de grandes voies aériennes, par exemple, la liaison Paris-New York, depuis son inauguration officielle le 1er juillet 1946. Deux ans plus tard, Air France devient Compagnie nationale. C'est alors une société d'économie mixte régie par le code de l'aviation civile.

Dès les années 1950, Air France atteint l’âge d’or notamment grâce aux hausses d’effectifs du personnel navigant commercial, à une augmentation du trafic des passagers, à la création du nouvel aérodrome d’Orly, à la modernisation de la flotte ainsi qu’aux services de luxe. Ces années s’achèvent d’une part avec la création de la compagnie Air Inter, laquelle lui fera de l’ombre, quelques plus années tard, en assurant le monopole des lignes métropolitaines. En compensation, Air France entrera dans son capital à hauteur de 24%.

D’autre part, la compagnie est à l’origine de la mutation du transport aérien en s’équipant de « jets », tels que la Caravelle et le Boeing 707 mis en service en 1959 et 1960. Par conséquent, les appareils à hélice sont progressivement retirés de l’exploitation et certaines escales de vols long-courriers sont supprimées. Les aménagements au sol se modernisent également, notamment sur le site aéroportuaire d'Orly pour les locaux de l’exploitation et les ateliers. Le siège social s’établit en 1965 dans le quartier de Maine-Montparnasse. Simultanément, Air France est concurrencée sur ses lignes internationales par l'Union de transports aériens (UTA), nouvelle compagnie privée, desservant des voies aériennes internationales attribuées par l’Etat français.

- Le transport de masse

L’arrivée du Boeing 747 long-courrier marque le début de la décennie suivante. En effet, cet appareil transporte le plus grand nombre de passagers, presque cinq cents. Une nouvelle ère commence, celle du transport de masse, d’où la création de l’aérogare d'Orly-Ouest. En dépit de la crise économique mondiale conséquente aux chocs pétroliers de 1973 à 1979, Air France accroît fortement son activité en s’imposant dans le transport du fret et de la poste grâce au Boeing 747 cargo. Pour rester compétitive face à la concurrence marquée notamment par l’essor des charters, Air France adopte les systèmes de réservation « ALPHA 3 » et « GAETAN », puis « AMADEUS » en partenariat avec Iberia, Lufthansa et SAS (compagnie aérienne scandinave). En outre, l'aéroport Charles de Gaulle se développe successivement en 1974 et 1982, destiné à conquérir le marché européen par l’Airbus A300 et le Boeing 737. Mais, l’innovation majeure demeure le supersonique Concorde, aboutissement d’une très longue coopération entre les industries françaises et britanniques, opérant son premier vol le 21 janvier 1976 sur la liaison Paris-Dakar-Rio de Janeiro. La compagnie est par ailleurs l’une des premières à démocratiser ses offres de transport puisqu’elle propose des formules de voyage adaptées à ses différents clients tels que les « vols vacances », la classe « Affaires » et la classe « Air France Le Club ». Air France acquiert tout comme Air Inter, l’Airbus A320 à « commandes de vol électriques ».

- La déréglementation du transport aérien

Au début des années 1980, la compagnie affiche une position au quatrième rang mondial pour le transport de passagers et au deuxième rang mondial pour celui du fret. Cependant, à partir du mois de juillet 1988, la libéralisation progressive du transport aérien bouleverse la compagnie. C’est pourquoi, le 12 janvier 1990, le Groupe Air France est fondé regroupant Air France, Air Inter et UTA. La Société Nationale Air France disparaît. En 1993, la compagnie évite de peu la faillite, sauvée par plusieurs années de redressement. Le nouveau PDG, Christian Blanc, élabore le "Projet pour l'Entreprise 1994-1996" approuvé par référendum par les salariés. Ce plan stratégique de redressement assure à nouveau des bénéfices en 1996-1997. Le siège social est transféré sur le site de l’aéroport de Roissy-Charles de Gaulle en 1995, mais l’événement principal est la création, en 1996, d’une plate-forme de correspondances entre les vols courts, moyens et long-courriers d'Air France et d'une trentaine de compagnies partenaires. Ce « hub » est le plus performant d’Europe non seulement par les nouveaux services et produits tels que l’Airbus A340 assurant les lignes long-courriers sans escale ou encore la Navette au départ d’Orly pour Marseille, Nice, Toulouse et Bordeaux. Le 1er avril 1997, Air Inter fusionne définitivement avec Air France.

Présidents de la Compagnie

Statut juridique

Air France est une société commerciale qui a connu de multiples changements juridiques :

- Air France : société privée de 1933 à 1946

- Société nationale : Air France devient propriété de l’Etat de 1946 à 1948, suite à l’ordonnance de nationalisation de juin 1945. Le statut définitif est indéfini en attendant un texte législatif. Le Conseil de direction à la tête de l’entreprise est provisoire.

- Compagnie nationale Air France : société anonyme, société d'économie mixte régie par le Code de l’Aviation Civile de 1948 à 1990

- Groupe Air France : société anonyme à participation ouvrière à partir du 29 décembre 1992 : regroupement des compagnies Air France, Air Inter, Air Charter, et UTA conservant provisoirement leur autonomie jusqu’à la fusion effective le 12 septembre 1997

- Société Holding Groupe Air France : société anonyme d’août 1994 à 1998

- Société Air France : société anonyme à conseil d'administration depuis le 1er octobre 1998

Fonctions et activités

Le transport de passagers

L’activité principale de la compagnie aérienne française est à l’origine le transport de passagers.

Le transport de fret

En 1935, Air Bleu est créé en tant que filiale d’Air France pour le transport de la Poste. Puis en 1947, le « centre d’exploitation postale » ou « Postale de nuit » est fondé. En 1972, la compagnie crée une direction du fret, visant à développer et accroître cette activité. Air France s’affirme parmi les premières compagnies aériennes mondiales dans le transport du fret et de la poste. Le fret se définit comme le transport de marchandises, de colis postaux avions et de courrier postal au moyen d’avions cargos (fret uniquement), d’avions combinés (passagers et fret au pont supérieur), et d’avions mixtes (passagers au pont supérieur et fret en soutes seulement).

La maintenance et l’entretien des avions

La compagnie assure l'entretien et la réparation de ses avions depuis sa création en 1933. Actuellement, Air France Industries est responsable de cette activité et intervient également pour des compagnies aériennes clientes.

Liste d'élements
  • Ernest Roume (1933-1935)
  • Paul Tirard (1935-1938)
  • Bertrand Pujo (1939-1944)
  • Henri Desbruères (Directeur général) (1945-1948)
  • Max Hymans (1948-1961)
  • Joseph Roos (1961-1967)
  • Georges Galichon (1967-1975)
  • Pierre Giraudet (1975-1984)
  • Marceau Long (1984-1987)
  • Jacques Friedmann (1987-1988)
  • Bernard Attali (1988-1993)
  • Christian Blanc (1993-1997)

Contexte :

- Le contexte historique

Air France est une compagnie historique, née au cours de l’ère des pionniers de l’aviation qui lui donnent la vocation d’être une compagnie mondiale. Outre le transport de passagers et l’attraction de clients étrangers, la compagnie nationale assure également une présence française à l’étranger et dans les colonies en tant qu’organe politique et diplomatique. Au cours de la décennie 1950, Air France se vante d’exploiter le plus grand réseau du monde. Malgré les moments de crises traversés, que ce soit la Seconde Guerre mondiale, la décolonisation, la guerre du Golfe ainsi que les bouleversements provoqués par la déréglementation du transport aérien, l’évolution de la flotte de la compagnie témoigne de son adaptation continue aux progrès technologiques notamment par le passage des avions à hélice aux avions à réaction mais également de sa position de monopole à la libre concurrence. « Elle incarne un « modèle français » de gouvernance des entreprises, marqué par la coexistence d’acteurs aux intérêts divergents (pouvoirs publics, direction, salariés et syndicats) et par l’hybridation d’un statut public et d’une activité concurrentielle .»

- Le contexte politique

En 1946, avec la nationalisation d’Air France, l’État renforce sa tutelle et affirme sa position d’acteur de premier plan. En contrepartie, la compagnie assure une mission de service public dans le monde en arborant le pavillon français. De plus, le choix du président de la compagnie s’effectue selon la couleur politique des hommes au pouvoir. En 1988, Bernard Attali est nommé à la tête de la présidence de la compagnie par sa proximité politique avec le Premier Ministre et le président de la République François Mitterrand. Au contraire la nomination de Christian Blanc est beaucoup plus compliquée mais très urgente. En effet, personne ne souhaite présider Air France suite à la crise de 1993. Toutefois, Christian Blanc, homme de gauche accepte la proposition du ministre des Transports, Bernard Bosson appartenant à un gouvernement de droite. Christian Blanc est réputé pour sa gestion de conflits sociaux et réforma la RATP quelques années plus tôt. Le nouveau président de la compagnie place des personnes de confiance à des postes clés, tels que Christian Kozar, Denis Olivennes et Martine Micheland-Bidegain.

Au moment de la déréglementation du transport aérien, la tutelle de l’État se révèle être une contrainte pour la compagnie, pour laquelle la privatisation s’avère être la solution pour rester compétitive. Or, aucune initiative n’est proposée et lorsque le président Christian Blanc défend cette nécessité, le ministre des Transports et le nouveau gouvernement de gauche affirment leur totale opposition.

- Le contexte économique

Jusqu’au milieu des années 1960, l’Etat finance la compagnie, date à laquelle son autofinancement devient possible de par sa forte croissance et ses gains de productivité assurés par un environnement favorable, stable et protégé par l’Etat régulateur.

Au début des années 1970, les gains de productivité ralentissent, suivis par la dégradation de l’activité économique à partir de 1989 notamment la chute de la recette unitaire et l’augmentation du taux d’endettement au début de la décennie 1990. Cette crise est conséquente à la dérégulation du transport aérien installant une libre concurrence européenne et mondiale auquel la compagnie est confrontée. La vague de la déréglementation se développe d’abord aux Etats-Unis au début des années 1970 puis est légalisée en 1978 par l’« Airline Deregulation Act ». Les pouvoirs publics et la population américaine sont favorables à cette nouvelle politique car leur volonté est de réformer le Civil Aeronautic Board, c’est-à-dire l’autorité de régulation du transport aérien menant une politique conservatrice. Ainsi, les compagnies charter représentent cette volonté de consumérisme, proposant des tarifs accessibles à tous les passagers, de nouveaux services et de nouvelles destinations, tout en s’accordant avec les produits touristiques fabriqués par les tour operators.

A partir de 1984, la libéralisation du ciel européen s’ouvre par le Royaume-Uni qui signe un traité d’accord avec les Pays-Bas, puis avec d’autres voisins dont la France signant une libéralisation partielle. Par la suite, le ministère des Transports donne son accord pour la libéralisation graduelle, qui sera totale à partir du 1er avril 1997.

La guerre du Golfe accélère ce bouleversement, provoquant une baisse de trafic et des recettes ainsi que l’augmentation du prix du carburant. La compagnie ne parvient pas à s’en sortir elle-même à tel point que la recapitalisation par l’Etat est primordiale en 1994, s’élevant à vingt milliards de francs. Le redressement de la compagnie suit un plan de restructuration plus sévère que sous la présidence de Bernard Attali, afin de réduire l’endettement et redevenir une compagnie bénéficiaire. A la fin des années 1990, l’ouverture du capital d’Air France l’introduit sur le marché financier, lui permettant non seulement de faire des économies mais également de rendre possible l’actionnariat aux salariés, lesquels y participent en majorité.

- Le contexte social

Air France a connu plusieurs crises impactées par des grèves. A partir des années 1970, de fortes tensions sociales secouent Air France dont le modèle de gouvernance liant l’État, la direction de l’entreprise et les syndicats montre ses limites à tel point que la privatisation de l’entreprise est envisagée. Puis, à la fin des années 1980, le nombre et l’intensité des mouvements sociaux s’accentuent, face à la très forte fragilisation de la compagnie suite à la dérégulation du transport aérien. La présidence de Bernard Attali demeure la plus mouvementée, en témoigne la grève du 12 au 24 octobre 1993 marquée par sa violence. Les salariés occupent non seulement leurs lieux de travail en particulier les pistes et les hangars mais affrontent également les forces de l’ordre. Le mouvement de grève se poursuit après la nomination et la prise de fonction de Christian Blanc. Sa présidence est notamment marquée par les grèves à répétition du personnel navigant commercial à l’automne 1995, ainsi qu’en mai 1997, par celle des syndicats de pilotes Air France et Air Inter.

L’entreprise garde une particularité en regroupant ses salariés en trois catégories, demandant des traitements sociaux différents et ayant des revendications sociales différentes.

Le personnel navigant technique (PNT) a un pouvoir puissant non seulement parce qu’il peut bloquer l’activité de la compagnie et également par son fort taux de syndicalisation. Au contraire, les PNC et les PS (personnel au sol) ont un faible taux de syndicalisation.

Organisation :

Au sommet de la structure interne de l’entreprise se trouve le président- directeur général puis le directeur général. A l’exception des années 1945-1948, au cours desquelles, il n’y avait pas de président mais uniquement un directeur général. Au cours des années 1950 et 1960, la compagnie se forge une identité organisationnelle durable autour des notions de pavillon français et de service public (Barnier et Rozenblatt, 1996 ; Strategor, 1997). Le directeur général est le supérieur de tous les directeurs, lesquels sont placés à la tête des principales directions, divisées en sous-directions. Le dernier échelon est occupé par les services. Enfin, les salariés sont répartis selon les trois catégories suivantes, les PNT (personnel navigant technique), les PNC (personnel navigant commercial) et les PS (personnel au sol). L’ensemble des niveaux hiérarchiques sont identifiables par des sigles. La compagnie comprend des instances centrales (conseil d’administration, comité exécutif ou comité de direction générale.) L’entreprise a toujours été caractérisée par la complexité de sa structure. Par conséquent, plusieurs réorganisations se sont succédé notamment dans le cadre des plans de restructurations, dès l’arrivée de la dérégulation du transport aérien en Europe à la fin des années 1980. Présidence de Bernard Attali Les structures sont réorganisées dans le cadre du plan stratégique « Cap 93 » dès 1991 : effort de recentrage et allègement du réseau avec la création d’un centre de décision stratégique du Groupe faisant du client sa priorité et la réorganisation de la fonction commerciale. Présidence de Christian Blanc Une révolution organisationnelle est opérée, à partir du 1er septembre 1994, avec la création de onze entités organisationnelles responsables de leurs ressources, de leurs dépenses et relativement autonomes sur le domaine d’activité.

Textes de référence :

  • - 17 août 1933 : acte notarié qui finalise la convention de fusion des compagnies dans laquelle est inscrite la dénomination sociale de la nouvelle société, c’est-à-dire Air France.

    - Loi du 11 décembre 1932 : la dénomination sociale de la société est Air France, placée sous le régime de cette loi, laquelle fixe les statuts de l’aviation marchande et réglemente le processus d’attribution des subventions.

    - Loi du 16 juin 1948 : explicite les missions de service public du transport aérien : le service régulier de lignes aériennes avec un certain confort, le transport postal, les dessertes des lignes peu ou pas rentables et aménagement du territoire, la construction d’installations industrielles, de bureaux d’études, formation professionnelle qui accroissent le patrimoine humain et économique de la nation.

    - Loi du 30 septembre 1953 et décret d’application du 7 janvier 1955 : les parlementaires instaurent un système de rémunération contractuelle des obligations d’intérêt général qui incombent à Air France, « Les obligations qui lui sont imposées dans l’intérêt général feront l’objet […] des contrats préalables, passés entre la compagnie d’une part, et l’Etat, les collectivités publiques de la métropole et de la France d’outre-mer d’autre part, dans des conditions à déterminer par décret en Conseil d’Etat. »

    - Le décret de 1953 permet à l’administration de l’aviation civile d’intervenir désormais dans les conflits entre Air France et ses concurrents privés : « Nul ne peut exercer une activité de transport aérien (…) s’il n’y a été autorisé. » Ce décret prévoit la création du Conseil supérieur de l’Aviation marchande.

    - Code de l'Aviation Civile :

    Article L342-3 (abrogé au 2010-12-01) (Modifié par Loi n°2004-734 du 2004-07-26 - art. 2 JORF 2004-07-28)

    Article L342-4 (Modifié par Loi n°2004-734 du 2004-07-26 - art. 5 JORF 2004-07-28)

    Article D422-13 (Modifié par Décret 80-910 1980-11-17 art. 5 XV JORF 1980-11-21)

    Article R342-2 (Modifié par Loi 98-546 1998-07-02 art. 51 JORF 1998-07-03)

    Article D342-1 (Modifié par Loi 98-546 1998-07-02 art. 51 JORF 1998-07-03)

    Article D611-3 (Modifié par Loi 98-546 1998-07-02 art. 51 JORF 1998-07-03)

    Annexe I à la section I du chapitre Ier du titre III du livre Ier de la troisième partie du code de l'aviation civile (art. D131-1 à D131-10

    - REGLES DE l'AIR

    > Annexe I : Chapitre Ier (Modifié par Arrêté du 2006-03-03, v. init.)

    > Annexe I : Chapitre III (Modifié par Arrêté du 2006-03-03, v. init.)

    > Annexe I : Chapitre V (Modifié par Arrêté du 2006-03-03, v. init.)

    - SERVICES DE LA CIRCULATION AERIENNE

    > Annexe II : Chapitre 2 (Modifié par Arrêté du 2006-03-03- art. 1, v. init.)

    > Annexe II : Chapitre 4 (Modifié par Arrêté du 2006-03-03- art. 1, v. init.)

    > Annexe II : Chapitre 6 (Créé par Arrêté du 2006-03-03- art. 1, v. init.)

    > Annexe II : Chapitre 7 (Créé par Arrêté du 2006-03-03- art. 1, v. init.)

    - Convention de Varsovie de 1929. Elle a pour objet le contrat de transport en régime international, elle « régit et, dans la plupart des cas, limite la responsabilité du transporteur en cas de mort ou de lésions corporelles, ainsi qu’en cas de perte ou d’avarie de bagages » (texte extrait de l’avis mentionné en tête du contrat de transport).

    - Convention de Chicago de décembre 1944 donnant naissance à un Code de l’air et reconnaît tout d’abord la souveraineté des Etats sur leur espace aérien. Elle a également mis en place un organisme international, l’Organisation de l'aviation civile inetrnationale (OACI). Enfin, un cadre d’exploitation de l’espace aérien a aussi été élaboré, « les cinq libertés de l’air ».

    - Principes régissant le transport aérien émis par l’OACI.

Sources :

  • France 5 « Air France, splendeur et turbulences », diffusion le 08-11-2016, 20h50, 01h15 (372), Nova Production, 2016.
  • Organigramme 1984
  • Organigramme 1986
  • Organigramme 1989
  • Organigramme 1990
  • Organigramme 1992
  • Organigramme 1993
  • http://www.avcodes.co.uk/callsignres.asp
  • https://www.legifrance.gouv.fr/ (Code de l'aviation civile >Partie législative > LIVRE III : TRANSPORT AERIEN >TITRE IV : SOCIETE AIR France >CHAPITRE II : FONCTIONNEMENT.)

Identifiant :

  • FRAN_NP_009155
  • ISNI 0000 0001 2173 0676 ; SIRET : 420 495 178 00014

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