Document d'archives : Titres de capacité

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Création et composition de jurys d'arrondissements pour l'examen des institutrices (1819-1827), brevets délivrés (1819-1820) ; établissement à Aurillac d'une commission départementale chargée d'examiner les aspirants et aspirantes aux brevets de capacité (1834-1835) ; voeu du conseil général tendant à l'établissement d'une commission d'examen dans chaque arrondissement et objections rectorales (1) (1834-1836) ; établissement d'une commission à Saint-Flour et demande motivée du recteur tendant à sa suppression (1836) ; demandes formées à l'effet que cette commission, établie pour l'examen des instituteurs, soit également autorisée à procéder à l'examen des aspirants aux brevets de capacité (1837-1845) ; autorisation à cet effet : arrêté du recteur de l'académie de Cahors (2) relatif à l'ouverture de la 1e session de 1849 (affiche) (3) ; fraude (1836) ; études et brevets délivrés (1834-1835, 1838, 1841) ; composition de la commission départementale d'examen créée par la loi du 15 mars 1850 (1872-1885) ; organisation des sessions, dispositions règlementaires (1847-1885) (4) ; dispenses d'âge (demandes, autorisations, refus ; 1841, 1862-1882) ; liste des membres de l'enseignement primaire élémentaire public ou privé qui ont à satisfaire aux prescriptions de la loi du 16 juin 1881 concernant les titres de capacité et concours en 1881 (candidatures, résultats).

Cote :

1 T 57

Observations :

Commentaire
(1) Le 12 septembre 1836, le recteur écrit au préfet : "Ce que j'avais craint est arrivé, la commission d'instruction primaire de Saint-Flour a breveté un candidat refusé, le 1er de ce mois, par la commission d'examen de Clermont".
(2) De 1848 à 1850, par suite de la réduction du nombre des académies, le Cantal dépend de l'académie de Cahors, composée des départements du Lot, du Gers, du Lot-et-Garonne, de la Corrèze et du Cantal. Dès 1848, le conseil général avait sollicité du Gouvernement l'établissement de l'académie de Clermont-Ferrand, "plus importante par son étendue et le nombre de ses élèves que la plupart de celles qui ont été maintenues (séance du 4 novembre).
(3) L'Impartial du 14 février 1849 écrit à ce sujet que "la difficulté des lieux, les dépenses assez élevées à faire pour les voyages à Aurillac, et mille autres raisons qu'il est facile de comprendre rendraient cette mesure nécessaire".
(4) Au sujet des candidatures, on trouvera dans ce dossier 2 lettres, l'une du président de la commission d'examen (1866), l'autre de l'inspecteur d'académie (1875) signalant leur nombre toujours croissant.

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