1. Arrêt du Grand Conseil maintenant François Hervieux en la possession du prieuré de Saint-Michel près Broussadel, dont il avait été régulièrement pourvu par Henri d'Angoulême, abbé de La Chaise-Dieu, nonobstant les oppositions d'Antoine d'Auvergne qui voulait s'emparer de ce bénéfice en invoquant le désistement qui en avait été fait en sa faveur par le précédent titulaire (9 juillet 1576). – 2. Vente par G. de Chaliers, chevalier, à Eblon, prieur de Chaliers, d'une redevance de 3 hémines de seigle qu'il percevait annuellement sur l'église du lieu, moyennant 15 livres, monnaie pougeoise (13 janvier 1261, n. st. ; 1260, « idus januarii »). – 3. Procès-verbal de l'exécution de la lettre de sauvegarde octroyée par le roi à l'abbé de La Chaise-Dieu pour lui assurer la jouissance de ses droits sur le prieuré de Chaliers (5 août 1483). – 4-39. Baux à ferme des revenus du prieuré de Chaliers : le montant du fermage s'élève à 400 livres et 10 setiers de seigle en 1603 ; à 420 livres en 1621 ; à 660 livres en 1657 ; à 1.100 livres en 1699 ; à 1.800 livres en 1725 ; et à 1.350 livres en 1757 (1568-1757). – 40-41. Échange entre l'abbaye de La Chaise-Dieu et Amé d'Apchon, chevalier, et sa femme Jeanne de La Molière, des dîmes perçues par l'abbaye sur la paroisse de Massiac contre tous les droits dudit d'Apchon et de sa femme sur la seigneurie de Chalinargues (1er mai 1490) ; lettre signée Crozat relative aux dîmes jadis possédées à Massiac par l'abbaye de La Chaise-Dieu (11 novembre 1689).