Titre :,Période :,Institution :,Contenu :,Cote :,Inventaire d'archives :,Ressources complémentaires : ,Personnes :,Nom de famille :,Lieux :,Thèmes : ,Type de document : Demande d'indemnité de frais de trousseau,17 août 1903-[1920],Archives départementales du Cantal,"Présentation du contenuSeule ma peine est ma propriété. Paul Éluard, La puissance de l'espoir. L'inspecteur d'académie écrit au préfet pour solliciter du conseil général une indemnité en faveur de Léon, qui vient d'être admis premier à l'École normale d'Aurillac. Jamais on ne donna définition plus limpide de la situation des ouvriers agricoles, véritable prolétariat rural, qui n'est riche que de ses enfants : ""Ils ne possèdent rien et sont locataires de la maison qu'ils habitent. Le père est domestique agricole et gagne 250 francs par an ; la mère est couturière et gagne peu ; elle a dû se faire amputer un pied il y a quatre ans et il en résulte pour la famille de graves dépenses ; outre le postulant, ils ont à leur charge deux enfants âgés de 7 et 8 ans"". Le Conseil général accorde 100 francs, soit plus du tiers de ce que gagne le père annuellement.",26 NUM 19,"""Les racines cantaliennes de Georges Pompidou : de l'Elysée à Montboudif""","