1. Sentence de Jean Forit, aumônier-mage de La Chaise-Dieu, Hugues Roland, prieur de Saint-Germain-L'Herm, et Géraud de Montaigu, prieur de Pranles, tous trois définiteurs de l'abbaye, condamnant Robert Dauphin, hôtelier-mage, à restituer à l'abbé deux logis sis dans le fort du monastère dont il s'était indûment emparé après le décès de B. Du Rif, son prédécesseur (vers 1304). –2-5. Accord par lequel Louis de Gibertès, hôtelier-mage, s'engage à observer les fonctions de sa charge (20 avril 1448-24 septembre 1449). – 6. Ordonnance de François de Chabannes, bailli de Montferrand, autorisant Jean Marchet, hôtelier-mage, à assigner par devant lui le cellerier de l'abbaye dans le cas où celui-ci se refuserait à lui servir les procurations de pain et de vin accoutumées (10 janvier 1540, n. st). – 7 et 8. Vente par Antoine de Myet, sieur de Vabrette, paroisse de Dore, à Claude de Choumouroux, hôtelier-mage, d'une maison dite « la Maison blanche », avec un jardin attenant, le tout sis à La Chaise-Dieu, sur la place appelée « le Fort », moyennant 16 livres (21 juillet 1607-28 avril 1608). – 9-12. Citations à témoins, à la requête de Claude de Choumouroux, hôtelier-mage, pour déposer dans une instance que ce dernier soutenait contre Pierre de Mairie, sieur du Fort, au sujet d'une prise d'eau. Ce procès, dont on ignore l'issue, fut jugé par la sénéchaussée d'Auvergne et, en appel, par le parlement de Paris (1626-1628). – 13-15. Saisies pratiquées à la requête du receveur des décimes du diocèse de Clermont, contre l'hôtelier-mage de la Chaise-Dieu, en paiement de ses décimes et subventions (1636-1676). – 16-24. Quittances des décimes et dons gratuits de l'hôtelier, s'élevant à la somme annuelle de 370 livres (1777-1781).