Document d'archives : Chapelle-d'Alagnon (La) (1874-1904), Chapelle-Laurent (La) (1839-1905), Charmensac (1869-1904), Chastel-Marlhac (1838-1839,...

Titre :

Chapelle-d'Alagnon (La) (1874-1904), Chapelle-Laurent (La) (1839-1905), Charmensac (1869-1904), Chastel-Marlhac (1838-1839, 1850-1851, 1889-1900) (1), Chastel-sur-Murat (1861, 1896-1902), Chaudes-Aigues (An XII-1898) (2), Chaussenac (1833-1835, 1867-1904) (3), Chavagnac (1892-1904), Chazelles (1844, 1866-1878), Cheylade (1832-1834, 1866-1903), Claux (Le) (1843, 1848, 1887-1905), Clavières (1832, 1861, 1891-1902), Collandres (1833-1835, 1889-1905) (4), Coltines (1832-1839, 1866, 1885-1899), Condat (1834-1899) (5), Coren (1833-1896), Crandelles (1834, 1838, 1889-1898), Cros-de-Ronesque (1832, 1850-1855, 1876, 1895, 1905), Cros-de-Monvert (1858), Cussac (1830-1832, 1882-1885).

Cote :

1 V 21

Inventaire d'archives :

Série V

Observations :

Commentaire
(1) Le desservant de Chastel-Marlhac, écrit au sous-préfet le conseiller général du canton de Saignes (18 février 1889), "s'amusait, il y a quelques années, à faire brûler les manuels de morale civique placés dans les mains des élèves de l'école primaire de la commune".
(2) "Il règne une division scandaleuse entre les ecclésiastiques de cette commune, et cette division tend à troubler la tranquillité des habitants... Vous vous imaginez bien qu'il y a des agitateurs dans tout ceci, et si ce n'était que division entre prêtres j'aurais gardé le silence" (Le maire au sous-préfet, 4 prairial an XII). En 1879 (24 avril), le maire écrit au préfet au sujet d'une pétition organisée par le curé contre la proposition de loi Ferry.
(3) Quelques renseignements (1878) sur le desservant, l'abbé Pagis, nommé en 1878 à la cure de Salers, futur évêque de Tarentaise.
(4) En 1904, le vicaire devient membre d'une congrégation à Colombo (Ceylan).
(5) Placé par les autorités civiles et religieuses dans les premiers rangs du clergé cantalien, le curé Vigouroux est chaudement recommandé pour la cure vacante de Saint-Géraud, à Aurillac. "Il est parvenu à force de dévouement, écrit Mgr Lavernhe, ancien vicaire général, à se faire aimer et estimer dans une paroisse où ses prédécesseurs avaient échoué... Condat est une des plus mauvaises communes du département. Il y a réuni les esprits, qui depuis longtemps étaient divisés" (19 février 1857).

Type de document :

Document d'archives

Archives départementales du Cantal

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