Inventaire d'archives : Instruction publique, sciences et arts.

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Ce fonds est le moins considérable de tous ceux de nos archives civiles. Toutefois, nonobstant les pertes nombreuses qu'il a faites, il renferme encore des documents précieux pour l'histoire de l'enseignement.
Université de Dijon. — Cet article ne comprend que le résidu des papiers de cette institution, qui versés au dépôt en 1792, lors de la suppression de l'Université, furent repris lors de son rétablissement en 1806, sous le nom d'École de droit.
Collège Godran de Dijon. — Son fonds est le plus important de la série (D 3 à 116). Il concerne pour la presque totalité les propriétés du Collège. Quant aux papiers de l'Institut, comme à tout ce qui pouvait concerner l'Instruction, il n'existe plus que quelques pièces relatives aux exercices publics et aux prix.
Les écoles publiques de Dijon avaient acquis au Moyen Age une grande réputation. Aussi, modestie à part, se donnaient-elles l'épithète de fameuses dans le préambule de leurs statuts. On y enseignait la lecture, l'écriture, les belles-lettres et les mathématiques.
Par malheur, la création pour les deux Bourgognes d'une université à Dole porta une rude atteinte à ces écoles. Faute d'écoliers et surtout d'étrangers, elles dégénèrent peu à peu pour devenir un simple collège sur lequel cependant la renommée d'un recteur fixa pour un moment l'attention.
Pierre Turrel, autunois, gouverna le collège de Dijon sous le règne de François Ier. C'était un savant et un lettré qui réunit autour de sa chaire quantité d'écoliers, dont plusieurs devinrent des hommes distingués. Malheureusement, P. Turrel s'adonnait aussi à l'astrologie, ce qui lui amena de la part du clergé des persécutions nombreuses, dont le contre-coup se fit sentir au collège et faillit l'entraîner dans sa ruine.
Heureusement, un digne prêtre vint à son secours : Julien Martin, curé de Diancey et chapelain à Saint-Michel de Dijon, qui sortait d'une famille patricienne de cette ville, proposa, en 1531, aux magistrats d'affecter la rente d'une somme de 4.000 livres à l'institution de deux régents et de deux chapelains. De plus, comme jusque-là, l'obligation imposée aux écoliers de payer les régents, interdisait l'accès du collège aux enfants pauvres, Martin y suppléait en créant trois boursiers à la nomination du fondateur et des magistrats. Ces derniers acceptèrent. Ils contribuèrent pour leur part, en achetant rue des Béliots (aujourd'hui rue du Vieux-Collège), une vaste maison qu'ils aménagèrent et dans laquelle le nouveau collège s'installa. Guillaume Postel y professa les mathématiques en 1556.
Néanmoins, malgré ces libéralités et l'impuissance où se trouvait la ville de faire davantage, eu égard à la misère des temps, le collège des Martinots se soutenait à grand peine, lorsqu'en 1581, un président au Parlement, Odinet Godran, issu, comme Julien Martin, d'une famille qui occupait les plus hauts emplois de la ville, voulut doter aussi son pays d'un collège, non plus dirigé par des régents empruntés à tous les pays, mais par une société religieuse de création récente, dont la renommée en matière d'instruction était telle, que déjà une douzaine de villes lui avaient confié l'éducation de la jeunesse.
Par son testament du 9 février 1581, Odinet Godran institua, pour ses héritiers universels, la compagnie de Jésus et la ville et commune de Dijon, conjointement et par indivis, sous la condition de dresser sous le nom de collège Godran, un collège de « bonnes-lettres, que l'on dit lettres humaines et de philosophie morale, traitée par Aristothe en ses livres des éthiques et politiques et par Platon ».
Ce collège était gratuit et accessible à tous les enfants des habitants des villes, bourgs et villages du ressort du Parlement.
O. Godran étendait aussi sa libéralité aux jeunes filles. Il institua « une femme ancienne de bonnes vie et mœurs pour instruire les jeunes filles du ressort habitant Dijon, leur enseigner à lire, à écrire, les ouvrages de filets ou de laines, à l'exception des ouvrages de soie, qui ne sont que superflus, mais surtout leur montrer la modestie et la vertu ». Elle devait recevoir une somme de 80 livres par an et être à la nomination de la Chambre de ville. En cas de non acceptation de la part des légataires, il leur substituait le chapitre de la cathédrale d'Autun.
Les biens délaissés par le Président Godran comprenaient l'ancien hôtel de la Trémouille où il demeurait, l'hôtel de Crux, situé non loin de là, une notable part du fief de l'Eminage, des constitutions de rente, mais surtout sa baronnie d'Antilly, Champseuil et Lochères au bailliage de Nuits.
La mairie de Dijon accepta sans hésitation, mais il n'en fut pas de même pour la Compagnie de Jésus. L'obligation imposée par le président de rendre compte de l'emploi des revenus à la Chambre de ville lui était particulièrement désagréable comme contraire, disait-elle, à son institut. Les maires et échevins devant lesquels ses délégués s'en étaient expliqués, n'ayant pas cru devoir se rendre à leurs raisons, ils avaient eu recours au Parlement et, sur son refus, au Roi qui garda le silence. Force leur fut donc d'accepter les clauses du testament sous la réserve, toutefois, de l'approbation du général, sauf à attendre du temps. En effet, deux ans n'étaient pas écoulés qu'ils trouvaient le moyen de mettre au compte de la ville l'entretien du régent chargé de l'instruction élémentaire des enfants pauvres, et de la maîtresse d'école, pour leur substituer un cours de philosophie en remplacement des cours d'agriculture et de mathématiques qui leur étaient antipathiques. En même temps que le Parlement les envoyait en possession des biens du président, on éludait la fameuse clause de reddition des comptes et la Compagnie, libre enfin dans ses allures, ne laissait de tout l'héritage au maire de Dijon, que le vain titre de baron, propriétaire d'Antilly, Champseuil et Lochères.
Cependant, cette succession, en apparence si brillante, s'était trouvée réduite, toutes charges payées, à mille livres de rente, somme insuffisante pour l'entretien du collège. La mairie fit encore un sacrifice; les préventions contre les nouveau venus s'étaient déjà affaiblies et ils avaient ouvert leurs cours avec éclat.
Établis au cœur d'un pays toujours hostile au protestantisme, les Jésuites, institués pour le combattre, n'avaient pas tardé à trouver dans toutes les classes d'ardentes sympathies dont l'expression éclata lors de l'expulsion de la Compagnie en 1595, et de son retour, en 1603 : du reste, elles n'avaient pas attendu jusque-là pour se traduire en témoignages effectifs.
En 1584, le président Jacqueron léguait une rente destinée à l'entretien des régents. On autorisait au collège l'établissement d'un pensionnat. Sur le refus des Chartreux d'accepter le legs de l'un d'eux, le Parlement, au mépris des droits de la famille, l'attribuait aux Jésuites pour la construction de leur chapelle, et de 1584 à 1614, les États de la province leur votaient jusqu'à 24.000 livres. L'année suivante, la mairie, outre ce qu'elle versait déjà, accordait au collège une somme de 4.000 livres; trois ans après, elle prenait à sa charge l'entretien d'un second régent de philosophie. Tout donc leur prospérait. En 1619 et 1645, les veuves des receveurs généraux, Berthet et Maillard, fondaient deux chapelles dans leur église et les dotaient richement. Bernard Martin, seigneur de la Outre, faisait les fonds destinés à des services religieux et à l'achat de livres qui furent le commencement de la bibliothèque.
Le président Odebert, un des bienfaiteurs de la ville, en même temps qu'il fondait le collège d'Avallon, son pays d'origine, donnait à celui de Dijon une somme de 30.000 livres pour l'érection au collège de chaires de théologie qui complétaient son enseignement. A cette dotation magnifique, il joignit, par son testament, une rente de 800 livres destinée à l'entretien de deux jeunes religieux jésuites et cordeliers au collège ; mais les bons pères, toujours très habiles, obtinrent des héritiers d'y substituer le cours de mathématiques dont ils n'avaient point voulu lors de la fondation en 1581.
Grâce à leur habileté en toute circonstance, à l'esprit de suite qui leur était commun avec toutes les communautés religieuses, soixante-dix ans après leur établissement à Dijon, les Jésuites avaient achevé la construction de leur collège : son étendue primitive avait doublé. Ils possédaient, outre les terres de la dotation primitive, un beau domaine à Marsannay-la-Côte, la terre de Mirande et de Lichey qui leur servait de maison de plaisance, la plus grande partie du fief de l'Eminage de Dijon. Les fonds de la fondation Odebert leur avaient permis d'acquérir la seigneurie de Vauzey, voisine d'Antilly, et la magnifique terre de Pourlans qui rapportait 30.000 livres de rente, le tout sans préjudice des constitutions de rente et des autres capitaux engagés.
Les Jésuites, il faut leur rendre cette justice, s'ils se montraient aussi insatiables de richesses que de domination, s'efforcèrent de justifier leur présence à Dijon par l'intelligence avec laquelle ils dirigeaient leur collège. Ils tinrent toujours à honneur de le pourvoir des régents les plus distingués. Dijon, bien avant eux, avait la réputation d'une ville lettrée, due à la supériorité de ses anciennes écoles, à l'existence dans son sein de trois cours souveraines, au milieu desquelles s'agitait un monde d'avocats, de procureurs et de clercs de toutes sortes. Cette réputation, les Jésuites la continuèrent. Bossuet, Buffon, Crébillon, Bouhier, La Monnoye, Brulart, l'abbé Nicaise, Delamare, Lantin, Piron et toute cette pléiade de beaux esprits, de savants, de magistrats éminents, d'avocats diserts, passèrent sur les bancs du collège Godran.
Grâce à la gratuité des cours exigée par le fondateur et prescrite par les statuts, ces fils de parlementaires, d'avocats, de bourgeois, s'y trouvaient coude à coude avec des enfants de familles plus modestes qui, servis par d'heureuses aptitudes, venaient y chercher sinon les éléments d'une fortune, tout au moins une situation honorable.
Avec un tel concours, le mouvement intellectuel ne pouvait baisser. Cette diffusion de connaissances littéraires aiguisait encore l'esprit naturel et gaulois, caractère distinctif du Dijonnais. Aussi l'auditoire des sermons de carême à la Sainte-Chapelle était-il aussi redouté des prédicateurs en renom que le parterre de son modeste théâtre l'était des acteurs de la Comédie-Française.
Mais si les Jésuites restèrent jusqu'à la fin, dans la ville, les maîtres de l'éducation publique, les générations qui se succédaient échappaient de plus en plus à leur influence. La part prise par la Compagnie dans les affaires politiques et religieuses du grand règne leur avait aliéné bien des esprits, notamment parmi les Parlementaires où se comptaient beaucoup de Jansénistes. L'esprit d'examen, une philosophie différente de celle qui se professait sur les bancs du collège envahissaient toutes les classes et la réprobation qui s'attachait aux religieux déteignait sur le professeur.
Cependant, quand sonna l'heure qui mettait fin à la domination de la fameuse Compagnie, le Parlement de Dijon conserva quelques ménagements: il attendit d'abord pour agir que le Parlement de Paris se fût prononcé, puis sept mois après, il commença le procès. L'instruction dura quatorze mois au bout desquels, le 11 juillet 1763, un arrêt solennel, reproduisant tous les griefs reprochés à l'institut, prononçait l'expulsion de ses membres, ordonnait la fermeture de ses collèges ou mettait le séquestre sur ses propriétés. Les officiers municipaux des villes où existaient des collèges de l'institut, furent invités à proposer les moyens de les continuer. Quant à celui des Godrans, le Parlement se réserva d'y pouvoir lui-même de concert avec la Chambre de ville.
Les syndics de la faillite Lionci, cause première de la chute de la Société, avaient élevé des prétentions sur les propriétés du collège, la ville de Dijon intervint au procès comme héritière indivise du président Godran, et obtint gain de cause.
Le Parlement n'attendit pas la fin de l'instance pour procéder à la réorganisation du collège : la voie en avait été tracée par l'édit du mois de février 1733, qui prescrivait la formation en tête de chaque collège étranger à l'Université, d'un bureau d'administration composé de l'archevêque ou de l'évêque dans les villes épiscopales, du premier Président du Parlement là où il en existait, du Procureur général, des deux premiers officiers municipaux, de deux notables et du principal. Le Parlement en ordonna l'enregistrement pur et simple sans s'arrêter aux protestations du premier Président de Berbisey, de la chambre des comptes exclue de l'administration du collège où l'avait appelée le fondateur, et de la ville de Dijon principale intéressée, laquelle comme héritière du président Godran réclamait la complète direction du collège.
Le 20 août 1763, le conseil d'administration fut constitué ; il se composait de Mgr d'Apchon, évêque de Dijon, de MM. Fyot de la Marche, premier Président; Quarré de Quintin, Procureur général, Rousselot, maire de Dijon ; Daubenton, échevin ; Ranfer, avocat ; Belot, marchand notable.
Le nombre des professeurs, non compris le principal et le sous-principal, fut maintenu provisoirement à quatorze. Ils étaient à la nomination du bureau. Les professeurs ecclésiastiques, pourvus de bénéfices, durent y renoncer.
Le bureau choisit un secrétaire appointé.
Il laissa au principal la présentation du portier, du sacristain, d'un valet et continua à la veuve Desaint le titre d'imprimeur du collège.
Le conseil s'occupa ensuite de la bibliothèque. Il réunit les deux bibliothèques Martin et Fèvret, avec faculté aux professeurs de prendre communication des ouvrages. Le public y fut admis quatre jours par semaine.
Dans la suite, et pour satisfaire à des besoins nouveaux, le bureau ne se renferma point dans ce cadre de professeurs : deux chaires de théologie furent converties en chaires d'allemand, de grec et d'italien, et, comme cette dernière était peu suivie, on la remplaça par une chaire d'histoire, dont Mailly fut le premier titulaire.
Le personnel constitué, le bureau s'occupa du règlement intérieur que le Parlement homologua en même temps qu'il envoyait le collège en possession des biens laissés par la compagnie de Jésus.
La gratuité des cours était proclamée en tête du règlement, et comme conséquence, le Bureau, inspiré par une pensée vraiment libérale, admit les étrangers à suivre les cours de langues, de mathématiques, de logique et de physique.
On maintint la fondation des prix triennaux du premier Président de Berbisey ; deux distributions de prix eurent lieu chaque année, mais on supprima ces représentations scéniques et publiques si chères aux Jésuites, pour les remplacer par des exercices littéraires ou des discours de professeurs. Rien, en un mot, ne fut ménagé pour encourager les études et en rehausser le niveau : enfin, tout en maintenant parmi les élèves la discipline la plus sévère, imprimer à leur éducation une direction bien différente de celle donnée précédemment.
Si l'on parcourt la liste des professeurs qui, de 1764 à 1790, se succédèrent dans les chaires du collège, on est étonné du nombre d'hommes remarquables qui les ont occupées.
Le premier principal, Merceret, devenu curé de Fontaine-les-Dijon, fut député de son ordre à l'Assemblée nationale. On doit à l'abbé Courtépée une Description historique du Duché, encore aujourd'hui dans toutes les bibliothèques bourguignonnes ; l'abbé Bailly fut un des théologiens distingués de son temps ; le premier professeur de mathématiques, Jurain, était correspondant de l'Académie des sciences de Paris ; l'abbé Volfius, professeur d'éloquence, fut élu, en 1791, évêque constitutionnel de la Côte-d'Or ; Mailly, professeur d'histoire, est l'auteur de plusieurs ouvrages estimés sur les annales du pays ; l'abbé Bertrand, physicien des plus distingués, en correspondance avec tous les savants de son époque, mourut, en 1792, victime de la science, en accompagnant d'Entrecasteaux à la recherche de La Pérouse.
Nous mentionnerons encore Joseph Jacotot, l'auteur de la Méthode universelle d'enseignement; l'abbé Boullemier, bibliothécaire, qui écrivit l'Histoire du Collège ; Caillet, professeur de poésie, secrétaire de l'Académie des Sciences, Arts et Belles-Lettres de Dijon, à laquelle appartenait la plupart des noms que je viens de citer.
Les élèves de tels professeurs répondirent à leurs efforts, car lorsque la Révolution eut abaissé toutes les barrières, ceux qui n'appartenaient point aux classes privilégiées, et c'était le plus grand nombre, purent librement donner l'essor à toutes leurs aptitudes.
Servis par les circonstances, beaucoup arrivèrent aux plus hauts emplois. Nous citerons dans la politique et l'administration : Berlier, Président de la Convention et Conseiller d'État sous le premier Empire, le Conventionnel Bazire, les deux frères Arnoult, l'un avocat, l'autre membre du Conseil des Cinq Cents, puis Conseiller d'État, Frochot, député aux États-Généraux, puis premier préfet de la Seine, les deux frères Maret, l'un qui fut le duc de Bassano, l'autre qui entra au Conseil d'État, Petitot, qui mourut directeur de l'instruction publique sous la Restauration ; Duboy-Laverne, directeur de l'Imprimerie nationale ; dans la magistrature : Jacquinot, de Pampelune, et Legouz, procureurs généraux à la Cour de Paris; dans l'armée : les généraux Heudelet, Bouchu, Charbonnel, Delaborde, Lucotte, et tant d'autres dont le nom ne revient pas sous ma plume.
Néanmoins, le collège Godran, institution publique où dominait l'élément religieux, ne pouvait échapper aux réformes qui s'imposaient partout.
L'évêque de Mérinville ayant quitté le diocèse, le premier Président et le Procureur général disparus avec le Parlement, la mairie de Dijon prit en main l'administration du collège où elle se trouva en concurrence avec le département et le district. Les biens du collège, déclarés nationaux, furent mis sous le séquestre et les dépenses mises à la charge de l'État. Les professeurs ecclésiastiques s'étaient retirés, on sursit à leur remplacement dans la prévision d'une loi sur l'instruction publique, annoncée par la Constituante. Deux autres professeurs, Mur et Jacotot, avaient couru à la frontière. Le bureau leur conserva leurs appointements. Jacotot se distingua dans plusieurs affaires, devint capitaine d'artillerie, reçut diverses missions de la Convention.
En leur absence, les autres professeurs, réduits à huit, se multiplièrent pour que l'enseignement n'en souffrît point. Melchior, professeur d'allemand, offrit même de faire des cours de français aux officiers prussiens et autrichiens internés dans la ville, « véritable moyen pour ces étrangers de puiser les vrais principes de patriotisme et de liberté ». Tous enfin luttèrent jusqu'au bout pour essayer d'arrêter une désorganisation inévitable dans une pareille tourmente. S'ils ne réussirent point à sauver le collège Godran, ils eurent au moins la satisfaction d'être désignés par leurs concitoyens comme les plus dignes d'entrer à l'École centrale qui lui succéda.
La série se termine par les actes relatifs aux fondations des collèges d'Avallon, de Châtillon, de Recey, en 1650, 1673, 1676 et l'introduction des Jésuites dans celui de Seurre (1737): les statuts des écoles de Dijon (1447) ; la fondation de celles d'Époisses et de Noyers, des pièces sur les frères de la doctrine chrétienne, le registre des délibérations du collège de médecine de Dijon et divers papiers concernant l'Académie des Sciences, Arts et Belles-Lettres de Dijon.

Cote :

D 1-139

Publication :

Archives départementales de la Côte-d'Or
2015
Dijon

Description physique :

Description physique: Document d'archives
Nombre d'unités de niveau bas
Nombre d'unités de niveau bas: 154

Organisme responsable de l'accès intellectuel :

Archives départementales de la Côte-d'Or

Identifiant de l'inventaire d'archives :

FRAD021_000000972

Type de document :

Document d'archives

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