Ce fonds privé d'association, comportant essentiellement des pièces isolées, des classeurs, des chemises et quelques boites à archives, se trouvait sans organisation avant traitement. Après un tri et des éliminations, un plan de classement a été établi.

On y trouve tout d'abord des dossiers concernant l'administration, le secrétariat et la comptabilité.

Les difficultés de gestion d'une association se perçoivent à travers les problèmes de locaux, en particulier dans les litiges avec la Caisse primaire d'assurance maladie

La seconde partie du fonds reflète les missions principales confiées à l'OPAG par la préfecture ou le conseil général : le rôle de coordination, de représentation et d'information par son intégration dans un réseau associatif local ou par les publications, le soutien social avec la gestion, par exemple, des dossiers d'indemnisation des sinistrés suite aux inondations de 1988, l'apport culturel en offrant un large choix d'activités (cours, conférences, sorties), en relayant localement des manifestations nationales comme la Semaine bleue, ou en étant l'instigateur d'actions nîmoises tel le salon Zénith30.

Malheureusement très peu de documents figurent sur la dissolution de l'association.

Une partie avait été déposée aux Archives municipales de Nîmes en 2006, ce qui en fait un fonds lacunaire. Toutefois il représente bien les diverses facettes de la vie d'une association au XXe siècle.