Inventaire d'archives : Fonds Simone VEIL (1828-2017)

Contenu :

Le premier versement du fonds Simone Veil conserve principalement les archives de ses activités ministérielles au gouvernement de 1974 à 1979 et de 1993 à 1995, à la présidence de l'Europe de 1979 à 1982 ou comme députée au Parlement européen jusqu'en 1993, ainsi que les articles ou interviews publiés dans de nombreux médias au cours de sa longue carrière politique en France ou en Europe et à l'étranger. Plusieurs séries de discours, de correspondance et de dossiers thématiques ou documentaires cloturent l'ensemble.
Le supplément a quant à lui permis de collecter des papiers plus personnels de Simone Veil, même si les spoliations dues à la guerre ont entraîné la disparition de quasiment tous les documents familiaux et ceux relatifs à son enfance et à son adolescence. Il comprend aussi un riche ensemble photographique et audiovisuel.
SOMMAIRE GÉNÉRAL :
Premier Versement.
  • 688AP/1-35. Papiers personnels et œuvres autobiographiques. 1959-2014.
  • 688AP/36-117. Carrière professionnelle et politique. 1957-2008.
  • 688AP/36-71. Fonctions ministérielles et gouvernementales. 1957-2008.
  • 688AP/72-117. Mandats au Parlement européen (PE). 1950-2006.
  • 688AP/118-130. Hautes juridiction françaises et internationales. 1985-2010.
  • 688AP/131-169. Commissions, fondations ou associations françaises et internationales. 1977-2013.
  • 688AP/170-228. Discours, interviews, déplacements et participations. 1974-2012.
  • 688AP/229-232. Pétitions et refus divers. 1980-2012.
  • 688AP/233-336. Correspondance sérielle. 1963-2014.
  • 688AP/337-420. Dossiers thématiques, personnels, revue de presse et documentation. 1882, 1958-2013.
  • 688AP/337-340. Dossiers personnels. 1965-2010.
  • 688AP/341-349. Politique française, européenne et divers. 1975-2013.
  • 688AP/350-361. Politique internationale et droits de l'homme. 1882, 1965-2010.
  • 688AP/362-365. Mémoire de la Shoah et du judaïsme. 1977-2012.
  • 688AP/366-391. Séries de coupures de presse. 1974-2013.
  • 688AP/392-395. Travaux universitaires, biographiques et scolaires sur Simone Veil. 1958-2013.
  • 688AP/396-420. Documentation thématique, publications, affiches et enregistrements. 1978-2013.
Supplément.
  • 688AP/421-434. Papiers personnels. 1828-2013.
  • 688AP/435-445. Carrière professionnelle et politique en France. 1961-1995.
  • 688AP/446-449. Mandats européens. 1979-1992.
  • 688AP/454-456. Mémoire de la Shoah et du judaïsme. 1966-2008.
  • 688AP/457-459. Correspondance personnelle. 1968-2017.
  • 688AP/460-468. Cartes de voeux. 1961-2016.
  • 688AP/469-471. Invitations protocolaires. 1974-2008.
  • 688AP/472-486. Revue de presse. 1970-2017.
  • 688AP/487-531. Photographies. 1969-2012.
  • 688AP/532-537. Enregistrements audiovisuels. 1969-2007.

Cote :

688AP/1-688AP/537

Publication :

Archives nationales
mars 2016-octobre 2020
Pierrefitte-sur-Seine

Informations sur le producteur :

Veil, Simone (1927-2017)
Centre des démocrates sociaux (France ; 1976-1995)
Simone Jacob est née le 13 juillet 1927 à Nice. Après Madeleine « Milou », Denise et Jean, Simone est la cadette du couple André Jacob (1891-1944), architecte et Yvonne Steinmetz. La famille Jacob est d'origine juive de Lorraine, mais non pratiquante.
Malgré la Seconde Guerre mondiale et l'occupation de la France par l'Allemagne nazie, Simone passe son baccalauréat le 29 mars 1944. Le lendemain elle est arrêtée à Nice par la police allemande, conduite à l'Hôtel Excelsior, occupé alors par la Gestapo, puis elle est envoyée le 7 avril au camp de Drancy près de Paris, où elle retrouve Madeleine et sa mère. Sa sœur Denise, résistante est arrêtée et déportée à Ravensbrück, Jean et André Jacob sont déportés et assassinés en Lituanie. Ensuite, Madeleine, Yvonne et Simone sont transférées au camp de travail de Bobrek (camp du complexe d'Auschwitz-Birkenau en Pologne), où elles parviennent à rester ensemble. Avec l'arrivée des forces Américaines en Allemagne, les Nazis décident de transférer les déportés à Bergen-Belsen à la fin du mois de janvier 1945, c'est la « marche de la mort », infligée aux derniers prisonniers des camps. En mars, Yvonne Jacob meurt du typhus à Bergen-Belsen et le mois suivant le camp est libéré par les troupes britanniques. Le 23 mai 1945, Simone et Madeleine Jacob sont de retour en France où elles retrouvent Denise.
Cette dernière année, Simone ayant obtenu son diplôme de baccalauréat débute ses études à l'Institut d'études politiques de Paris où elle rencontre Antoine Veil. Simone Jacob et Antoine Veil se marient le 26 octobre 1946 à Paris. Le couple aura 3 garçons : Jean (1947), Claude-Nicolas (1948) et Pierre-François (1954). Tandis qu'Antoine Veil travaille dans des cabinets ministériels, Simone achève ses études à l'École nationale de la magistrature et obtient le concours en 1956. Entre 1957 et 1964, elle inspecte les établissements pénitentiaires pour le ministère de la Justice, puis en 1959, elle devient membre de la Société internationale de Criminologie comme déléguée nationale. En 1964 elle est nommée à la Direction des Affaires civiles et du Sceau, sous-direction de la Législation : à ce titre elle participe à la réforme du Code Civil pour ce qui relève du droit de la famille. En 1966, elle assume simultanément le poste de secrétaire de la Commission de réforme de la loi de 1938 sur l'internement des malades mentaux et de secrétaire de la Commission d'études sur les problèmes relatifs à l'adoption. De plus, elle est également conseillère ministérielle de 1964 à 1969, notamment dans le cabinet de René Pleven, garde des Sceaux du gouvernement Chaban-Delmas qu'elle intègre en 1969, comme conseiller technique chargée de suivre les affaires civiles, avant d'être nommée par le Président de la République, secrétaire du Conseil supérieur de la Magistrature en 1970. Elle est ensuite désignée comme membre des Comités d'experts du Conseil de l'Europe, par le ministre de la Justice (ces comités sont chargés de préparer les conventions européennes sur l'âge de la majorité ainsi que sur la filiation naturelle). En 1971, elle est nommée par le président de la République, Georges Pompidou, membre du Conseil d'administration de l'Office de Radio Télévision Française (ORTF).
Du 28 mai 1974 au 4 juillet 1979, elle est nommée ministre de la Santé sous la présidence de Valéry Giscard d'Estaing. Pendant son mandat elle fait adopter la loi sur l'Interruption volontaire de grossesse (IVG) le 29 novembre 1974. Cette loi entre en vigueur le 19 janvier 1975.
À la demande du président de la République, elle conduit, en juin 1979, la liste UDF pour les premières élections au Parlement européen au suffrage universel direct. Simone Veil devient alors la première femme présidente du Parlement européen entre juillet 1979 et janvier 1982. Elle préside également pendant deux ans, la commission juridique. Réélue en juin 1984 au Parlement européen sur la liste RPR-UDF qu'elle conduit, Simone Veil mène ensuite une campagne pour devenir présidente du Groupe libéral, démocratique et réformateur, de 1985 à 1989.
Durant son mandat, elle est successivement Présidente du Comité français pour l'année Européenne de l'Environnement en 1987, et du Comité européen pour l'année européenne du cinéma et de la télévision en 1989. Fervente citoyenne de l'Europe, Simone Veil s'engage l'année suivante dans une troisième législature au Parlement européen entre 1989 et 1993. Durant ce mandat elle s'occupe principalement de la commission européenne chargée d'une assistance financière de la crise du Golfe en 1990.
À la demande d’Édouard Balladur en avril 1993, Premier ministre sous François Mitterrand, Simone Veil est nommée ministre d'État des Affaires sociales, de la Santé et de la Ville, poste qu'elle assume deux ans, jusqu'en mai 1995. Entre 1997 et 1998, elle préside le Haut Conseil à l'intégration (HCI), et de 2003 à 2009, le Comité directeur du Fonds au profit des victimes relevant de la Cour pénale Internationale (CPI), tout en siégeant au Conseil constitutionnel jusqu'en 2007. La même année elle soutient Nicolas Sarkozy en vue de son élection à la Présidence de la République.
Quarante années après sa déportation en Pologne, elle retourne au camp de Birkenau en 1994, avec une délégation du Parlement européen ; elle y revient en janvier 2005, pour participer aux cérémonies du 60e anniversaire de la libération du camp d'Auschwitz par l'armée soviétique, accompagnée de sa famille, d'anciens déportés et de journalistes. Depuis 2001, Simone Veil est présidente de la Fondation pour la Mémoire de la Shoah, dont le siège se trouve au Mémorial du Martyr juif inconnu, rue Geoffroy l'Asnier à Paris, dont elle devient Présidente d'honneur en 2007.
En parallèle de ses engagements gouvernementaux et européens, elle est membre de partis politiques : l'Union pour la démocratie française (UDF) puis en octobre 2012, l'Union des démocrates et indépendants (UDI), présidé par Jean-Louis Borloo. Par ailleurs, elle rédige son histoire personnelle dans son ouvrage autobiographique , publié chez Stock en 2007. Elle est élue à l'Académie française l'année suivante au fauteuil de Pierre Messmer le 20 novembre 2008.Une vie
Simone Veil est docteur de multiples établissements universitaires dont Princeton (New Jersey, États-Unis, 1975), l’Institut Weizmann de Réhovot (Israël, 1976), l’université de Cambridge (Royaume-Uni, 1980), l’université de Georgetown à Washington (États-Unis, 1981), l’université libre de Bruxelles (1984), les universités de Yale (États-Unis, 1980), de Glasgow en Écosse (Royaume-Uni, 1995), de Pennsylvanie (États-Unis, 1997), de Montréal au Québec (Canada, 2007), de Netanya (Israël, 2008), de Bologne (Italie, 2009), Ben Gourion (Israël, 2010), de Tel Aviv (Israël, 2011), et de Meiji (Japon, 2011).hororis causa
Pour ses engagements, Simone Veil a reçu de nombreux prix et distinctions honorifiques : prix « Athènes » de la Fondation Onassis (1980), prix Charlemagne International (Karlpreis 1981), prix Heinrich Heine (2010), elle a également été distinguée par la grand'croix de la Légion d'honneur en juillet 2012 qui lui sera remise au palais de l'Élysée par le Président de la République François Hollande deux mois après.
Denise Vernay (née Jacob), sa sœur, ancienne résistante, décède en mars 2013 à 88 ans, un mois après, son époux, Antoine Veil, disparaît en avril 2013. Simone Veil décide alors de se retirer de toute activité publique et elle interrompt sa carrière politique. Durant de nombreuses années, des enquêtes d'opinions indiquent régulièrement qu'elle figure toujours parmi les personnalités les plus populaires au cœur des Français. Simone Veil décède à son domicile parisien le 30 juin 2017 à 89 ans.
D'abord inhumée aux côtés de son époux, au cimetière de Montparnasse, un an plus tard, avec l'accord de sa famille et du Président de la République Emmanuel Macron, les 1er et 2 juillet 2018, les cercueils de Simone et Antoine Veil sont transférés au Panthéon. Cérémonie solennelle, forte en symboles, réalisée en présence de ses enfants, de nombreuses personnalités et d'une importante foule d'anonymes réunies pour suivre l'entrée du couple dans le temple de la République en hommage de la Nation.
Sophie Ravary et Pascal David-Dormien

Informations sur l'acquisition :

Dons de la famille Veil, février 2014, avril 2018 et juin 2021.
Historique de conservation :
Le fonds Simone Veil est le premier fonds d'archives privées entré directement sur le nouveau site des Archives nationales à Pierrefitte-sur-Seine en septembre 2012, quelques mois avant le transfert de l'ensemble des fonds et séries du site parisien du Département des archives privées (DAP). Il a été complété fin 2013, par un important supplément en provenance du secrétariat particulier de Simone Veil, rue de Rome à Paris. Afin de rendre le classement du fonds cohérent les deux entrées ont été fusionnées au cours de l'année 2015.
En avril 2018, quelques mois après le décès de Mme Simone Veil, un ultime complément d'archives en provenance de son domicile personnel est venu clore le fonds.

Description :

Critères de sélection :
Des éliminations de doublons ont été effectués au cours du classement du fonds.
Mise en forme :
Répertoire numérique détaillé.

Conditions d'accès :

Reproduction sur autorisation

Conditions d'utilisation :

Communication sur autorisation

Langues :

FrançaisAllemandAnglais

Description physique :

Importance matérielle :
81 mètres linéaires ; 530 cartons et 2 portefeuilles.

Ressources complémentaires :

Les Archives nationales, site de Pierrefitte-sur-Seine, conservent certains dossiers ou fonds d'archives relatifs à Simone Veil, et sa famille :
  • AJ/52/588. André Jacques Jacob, élève architecte aux Beaux-Arts entre 1921 et 1930.
  • AJ/16/8850 et 8865. Simone Jacob, dossiers individuels des boursiers de l'enseignement supérieur accordés pour faits de guerre de l'Académie de Paris (1945-1958).
  • 72AJ/2946-2957. Fonds Denise et Alain Vernay.
  • 742AP/1-84. Fonds Antoine Veil (1895-2013).
Plusieurs autres fonds ou sous-séries complètent le fonds Simone Veil, notamment les références ci-dessous (liste non exhaustive) :
  • 19930592/6. Santé ; Direction générale de la santé ; conseiller technique (1974-1979). [Politique ministérielle de santé publique : discours du ministre de la santé]
  • 19960368/1-150. Santé ; Cabinet et services rattachés au ministre de la Santé ; Cabinet (1987-1995). [Cabinet commun de Simone Veil, ministre d'état des affaires sociales, de la santé et de la ville et de Philippe Douste-Blazy, ministre délégué à la santé]
  • 19970081/18-23. Santé ; Service information, communication. Discours et retombées de presse (1993-1995).
  • 19970090/4. Justice ; Direction des affaires criminelles et des grâces, sous-direction de la législation criminelle. Élaboration de la « Loi Veil » et débats parlementaires (1974-1975).
  • 19980401/15-22. Services communs à la santé et au travail ; Cabinet et services rattachés au ministre ; Bureau presse, information, œuvres (1993-1995).
  • 19990286/1. Condition féminine ; Service du droit des femmes et de l'égalité ; Bureau de la communication, de l'information et de la culture - Bureau de la communication (1993-1995).
  • 20060283/3. Santé ; Institut national de la santé et de la recherche médicale (INSERM). 1974-1976.
  • 20120246/1-107. Division des cabinets courrier parlementaire et courrier des élus adressé aux ministres chargés des affaires sociales et de la santé. Classement alphabétique (1993-1995).
Les tables nominatives des interventions devant l'Assemblée nationale du ministre Simone Veil, sont consultables sur le site internet suivant :
  • http://www.assemblee-nationale.fr/histoire/tables_archives/simone-veil.asp
. Fonds classé en 3 séries organiques et 2 annexes :À l'étranger, les archives historiques du Parlement européen disposent d'un centre archivistique et documentaire (CARDOC) établi dans la ville de Luxembourg, ce dernier conserve des archives Simone Veil dans les fonds des présidents
  • Personnage public. PE1 P1 100/PERS.
  • Présidence du Parlement. PE1 P1 200/PRES.
  • Secrétariat du Parlement. PE1 P1 300/SEC.
  • Élection au Parlement européen. PE1 P1 400/ANN1.
  • Intégration européenne. PE1 P1 410/ANN2.
Pierrefitte-sur-Seine.

Références bibliographiques :

Bibliographie et ouvrages autobiographiques :
  • Briand (Sarah), , éd. Fayard, Paris 2015. Simone, éternelle rebelle
  • Missika (Dominique), , éd. Seuil, Paris, 2018 Les inséparables. Simone Veil et ses soeurs
  • Pfaadt (Laurent), , éd. City, 2011. Simone Veil, une passion française
  • Sarazin (Michel), , éd. Robert Laffont, Paris 1987. Une femme, Simone Veil
  • Sauvard (Jocelyne), , éd. de L'Archipel, Paris, 2012. Simone Veil, la force de conviction
  • Szafran (Maurice), , éd. Flammarion, Paris, 1994. Simone Veil
  • Teboul (David), éd. Les Arènes, Paris, 2019. Simone Veil. L'aube à Birkenau,
  • Vasseur (Nadine), , Éd. Tohu-bohu, Paris, 2019. Simone Veil. Vie publique. Archives privées
  • Veil (Simone), , éd. Stock, Paris, 2004. Les hommes aussi s'en souviennent
  • Veil (Simone), , éd. Stock, Paris, 2007. Une vie
  • Veil (Simone), , extraits d', Librairie générale française, Paris 2010. Une jeunesse au temps de la ShoahUne vie
Sélection d'articles biographiques :
  • Genestar (Alain), « Simone Veil, retour à Auschwitz », dans , n°2904, 13-19 janvier 2005, pp. 23-49. Paris Match
  • Kupferman (Fred), « L'atout-cœur de l'opposition », dans , 30 mars 1984, pp. 126-127. L'Express
  • Manceaux (Michèle), « Magré tout, je suis optimiste », dans , n°455, juillet 1990, pp. 26-34. Marie Claire
  • Pégard (Catherine), « Opposition : Simone Veil fait la loi », dans , n°592, 23 janvier 1984, pp. 34-39. Le Point
  • Pincas (Eric), « Simone Veil, une conscience politique », dans , n°714, juin 2006, pp. 80-85. Historia
  • Provence (Myriam), « Simone Veil l'Européenne », dans , hors série n°282, juillet 2008, pp. 28-31. Généalogie Magazine
  • Rimmer (Rachel), « Simone Veil, déportée et femme politique », dans , hors série, n°642, juin 2013, pp. 46-49. L'Arche
  • Schemla (Elisabeth), « Simone Veil, un destin français », dans , n°1564, 27 octobre-2 novembre 1994, pp. 72-76. Le Nouvel Observateur
Ouvrages collectifs et discours imprimés:
  • Bothorel (Jean), Julliard (Jacques), Kahn (Jean-François) et Konopnicki (Guy), « Simone Veil - Un destin français », dans , n° hors série, mars 2016. Marianne
  • Launay (Clément), Soule (Michel), Veil (Simone), , Édions sociales françaises (ESF), Paris 1968. L'adoption, données médicales, pasychologiques et sociales
  • Pavard (Bibia), Rochefort (Florence) et Zancarini-Fournel (Michelle), , éd. Armand Colin, Paris 2012. Les Lois Veil, Contraception 1974, IVG 1975
  • Veil (Simone), , Fondation de la mémoire de la Shoah, 2007. Discours, 2002-2007
  • Veil (Simone), , éd. Bayard, Montrouge, 2016. Mes Combats - Les discours d'une vie
Documentaires, DVD et divers :
  • Adler (Laure), interview filmée de Simone Veil dans « Les grands entretiens du siècle », 2 décembre 1997, vidéo consultable sur le site de l'Institut national de l'audiovisuel (ina.fr).
  • Faure (Christian), , adaptation en téléfilm de l'histoire de la loi sur l'IVG de 1974 (DVD), avril 2015. La Loi
  • Gosse (Jean-Marc), (DVD), janvier 2017. Simone Veil - Destin courage
  • Huppert (Isabelle), France Télévision, collection "Empreintes" (DVD), 2008. Simone Veil, la loi d'une femme,
  • Poblete (Maria), , éditions Actes Sud (ebook), 2012. Simone Veil. Non aux avortements clandestins
  • Teboul (David), Paris, Adav, Doc & co (éditeur), 2004. Simone Veil : une histoire française,

Localisation physique :

Pierrefitte-sur-Seine

Organisme responsable de l'accès intellectuel :

Archives nationales

Identifiant de l'inventaire d'archives :

FRAN_IR_050929

Archives nationales

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