Inventaire d'archives : Fonds des familles Nicolas et Mondié (1826-1951)

Contenu :

Le fonds des familles Nicolas et Mondié est structuré en deux parties : la première d'entre elles comprend les archives familiales (87 J 1-67), la seconde réunit les archives domaniales (87 J 68-86).

Les archives familiales rassemblent les archives des familles Mondié, Nicolas et de quelques familles alliées (Bouys, Cougnenc, Délos).
Dans les archives de la famille Mondié (81 J 1-16, 33 et 53), peu de documents concernant Henri Marc Mondié sont conservés. Né en 1832, ce dernier assure principalement l'exploitation du domaine familial jusqu'à son décès en 1911, obtenant divers prix pour la qualité de son vin (87 J 3). Son investissement dans la vie politique lui vaut une peine de déportation temporaire en Algérie, après le coup d'Etat du 2 décembre 1851 ; cet événement est rappelé dans l'allocution funèbre qui est prononcée à son décès en 1911 (87 J 1).
Les archives de son fils, Henri Marc Vincent Mondié (né en 1871), sont plus conséquentes. Il s'agit notamment d'archives politiques. Tout au long de son mandat de maire de Montouliers, entre 1894 et 1912, Henri Marc Vincent Mondié conserve des coupures de presses, des brouillons d'avis à la population, ou encore des pièces justificatives rassemblées dans le cadre de procédures relatives à l'adduction d'eau, l'augmentation des impôts ou l'exploitation des carrières à proximité du village. Après la Première guerre mondiale, il est également à l'origine de la souscription pour l'érection du monument aux morts de Montouliers en 1920 (87 J 6). Les engagements et valeurs que défend Henri Marc Vincent Mondié transparaissent à travers ses écrits : il prend volontiers la plume pour analyser les situations et donner son opinion. Les causes de la crise et des manifestations viticoles de 1907 font ainsi l'objet d'un manuscrit de plusieurs pages (87 J 7). Lorsqu'il est sous les drapeaux entre 1916 et 1917, il adresse à son neveu André Nicolas, à sa sœur et à sa mère à Montouliers une correspondance fournie qui contient de nombreuses analyses sur la stratégie, la diplomatie et la politique mondiale pendant la Grande Guerre (87 J 33 et 87 J 53).
Scientifiquement, ses centres d'intérêts sont multiples, comme le prouve sa bibliothèque (87 J 12 à 15). Henri Marc Vincent Mondié participe également activement à la fouille archéologique d'une fosse funéraire néolithique à Montouliers en 1910, fouille particulièrement bien documentée par une publication (87 J 12) et plusieurs photographies du chantier (87 J 67). Enfin, Henri Marc Vincent Mondié diffuse ses idées grâce à d'autres supports : à l'occasion d'élections politiques, il compose des chansons humoristiques où critiques et attentes socio-politiques fusent. Son positionnement anticlérical net (il est ouvertement franc-maçon) lui vaut aussi une correspondance savoureuse avec ses cousines résidant à Aigues-Vives (elles-mêmes plus conservatrices dans leurs croyances) qui se monrent choquées par les propos qu'il tient lors de sa mobilisation (87 J 9). Henri Mondié termine sa vie à Montouliers, où il exerce également sa passion du dessin, exécutant au fusain des croquis des membres de la famille (87 J 10 et 11) - souvent à partir de photographies conservées dans le fonds d'archives familiales (87 J 67) - et des paysages (une vue cavalière de Montouliers en 1900 est à noter).

Les archives de la famille Nicolas (87 J 17-57) sont quant à elles beaucoup plus volumineuses.
Après une succession dans la famille Bouys (87 J 58), les deux frères Alexis et Dominique Nicolas assurent la constitution et la transmission à la famille Nicolas et à leurs descendants d'un petit domaine viticole à Béziers et dans les localités environnantes (87 J 17 et 18).
Le premier véritable bénéficiaire de ce domaine est l'architecte Baptiste Nicolas. A cause de son décès précoce en 1897 à l'âge de 34 ans, ses archives personnelles sont principalement axées autour de sa scolarité. Les cahiers de l'école Dombre, située à Aix-en-Provence, présentent un contenu remarquable (87 J 20 à 24) : outre des données mathématiques et scientifiques (géométrie, trigonométrie, mécanique), ils comprennent une section intitulée « le sentiment et l'architecture », proposant notamment une corrélation pour le moins originale entre les coiffes des habitants d'une contrée et la construction de leurs maisons (87 J 23). L'unique registre professionnel de Baptiste Nicolas comprend de la correspondance relative à des commandes pour divers chantiers de construction (87 J 25). Son épouse, Henriette Nicolas-Mondié, veuve à partir de 1897, quitte Béziers pour s'installer avec son fils André chez sa mère et son frère à Montouliers. On relève plusieurs interventions de sa part dans la gestion du domaine familial, à la suite de son père, et surtout en l'absence de son frère Henri pendant la Première Guerre mondiale. Henriette Nicolas-Mondié est ainsi destinataire principale de nombreuses pièces comptables et autres documents officiels (87 J 85) liés au domaine. Elle reçoit également toute la correspondance de son fils et de son frère, pendant leur mobilisation lors du premier conflit mondial.
Les archives d'André Nicolas (87 J 36-54) sont les plus importantes de la famille. Ses archives scolaires sont presqu'intégralement conservées (87 J 38-45). Elles permettent d'étudier l'enseignement dispensé au tout début du XXe siècle, que ce soit grâce aux leçons ou grâce aux protège-cahiers illustrés - les fameuses "séries instructives recommandées pour les écoles" - qui comprennent une iconographie et un programme didactique révélateur du regard d'une époque sur son histoire et son identité (87 J 38). Lors de ses études universitaires à Toulouse, André Nicolas est également impliqué dans une affaire judiciaire : participant en 1913 à un "harcèlement nocturne", il est témoin d'une fusillade qui coûte la vie à l'un de ses camarades. Copie de sa déposition et coupures de journaux de l'époque illustrent les répercussions de cette affaire (87 J 37).
Mais les archives d'André Nicolas qui sont les plus riches concernent sa participation au premier conflit mondial (87 J 27-32). Il est possible de suivre le conflit quasiment au jour le jour, grâce à ses carnets de guerre, tenus sans discontinuer de 1915 à 1919 (87 J 87-96). L'autre source essentielle est constituée par une correspondance très suivie entretenue avec sa mère Henriette et son oncle Henri Mondié (87 J 8, et 27 à 32). André Nicolas intègre l'armée dans les rangs des chasseurs alpins. Sa campagne commence à Nice, où il séjourne plusieurs mois avant d'être envoyé au Front. Les Vosges, puis l'Alsace sont le terrain d'affrontement où il passe l'année 1915. En janvier 1916, il fait partie des troupes qui occupent temporairement l'île de Corfou. Dans ses lettres sont conservés de multiples souvenirs de sa découverte de la civilisation grecque, de ses festivités. Il devient téléphoniste à partir du mois de mars 1916. Puis les affrontements reprennent dans la Somme, les Vosges, l'Alsace et sur le Chemin des Dames où André Nicolas combat. A la fin de la guerre, ses connaissances en allemand permettent à André Nicolas d'obtenir un poste de traducteur et d'assurer des écoutes téléphoniques à Mayence, jusqu'à la fin de l'année 1919. Les différentes étapes de sa campagne militaire sont également très bien documentées par des photographies prises sur le Front (87 J 67). Le fonds conserve également plusieurs écrits et compositions littéraires d'André Nicolas (87 J 37), qui contiennent notamment des réflexions sur la guerre, la paix, mais également une représentation schématique des évènements de la guerre à l'aide des lois de géométrie analytique, intitulée "Essai d'étude analytique du front".
Enfin, un article (87 J 57) réunit les quelques documents relatifs aux enfants d'André Nicolas et de Marie Cougnenc (Jean, Paulette et Suzette). Il s'agit principalement d'archives scolaires et personnelles, parmi lesquelles une attestation de Résistance délivrée à Jean Nicolas en 1944 peut être signalée.

Les archives des familles Bouys, Cougnenc et Délos (87 J 59-66), alliées aux familles Mondié et Nicolas sont quantitativement moins importantes. Elles sont essentiellement constituées d'archives scolaires et de correspondance. La couturière, Marguerite Bachès, épouse Cougnenc, a en outre laissé plusieurs travaux de dentelles finement ouvragés (87 J 60-61). La correspondance militaire de Paul Cougnenc (67 J 53-54) est aussi à signaler. Mobilisé à partir de juin 1917, Paul Cougnenc tombe au Front le 10 octobre 1918. Son corps, enterré à Hauvigné (Ardennes), fait l'objet d'un dossier de correspondance (87 J 59) de ses parents qui souhaitent son exhumation, puis son transport au cimetière de Montouliers (ce qui est réalisé en 1922). Le nom de Paul Cougnenc figure sur le monument aux morts de Montouliers pour lequel Henri Mondié lance une souscription en 1923 (87 J 6).
Enfin, le dernier article des archives familiales est constitué d'un album réunissant toutes les photographies de famille du fonds (87 J 67).

Les archives domaniales (87 J 68-86) concernent deux domaines principaux : le domaine de Montouliers (87 J 68-85), appartenant à la famille Mondié, et le domaine de Béziers (87 J 86), propriété de la famille Nicolas.

Le domaine de Montouliers se constitue vers les années 1860. Principalement axé autour de l'exploitation de la vigne, puis du négoce (entrepôt et vente) de soufre pour la viticulture. Travaux, vendanges et mécanisation sont tout à tour assurés par les différents membres de la famille Mondié. Cette gestion est très bien documentée jusque dans les années 1930.
La composition du domaine (achats de terres, succession) forme un article où sont réunis les titres de propriété (87 J 68). Un ensemble complet d'agendas annuels est également conservé (87 J 70-82). Ceux-ci contiennent les listes de travaux à effectuer, la liste des vendangeurs, ainsi que de multiples mentions de vie quotidienne et d'événement familiaux. Les impositions, la correspondance, la comptabilité domaniale (87 J 83 à 85) complètent les archives de gestion du domaine, offrant ainsi une ressource inédite pour l'histoire économique de la région.
Le domaine de Béziers est quant à lui plus modeste. Il se compose d'une série de parcelles habitées, situées dans la rue du puits des Arènes, complétées par divers terrains dans les localités environnantes. Les archives sont principalement constituées par des documents de gestion foncière (87 J 86).
Correspondances personnelles et familiales, documents de gestion domaniale, archives scolaires ou encore photographies du fonds des familles Nicolas et Mondié illustrent ainsi chacune à leur manière, au-delà de l'histoire familiale, l'histoire de l'Hérault, et plus particulièrement celle de Montouliers et Béziers, entre la deuxième moitié du XIXe siècle et les années 1930.
Les nombreuses archives scolaires des différentes branches familiales documentent précisément l'histoire de l'enseignement dans l'Hérault entre 1880 et 1920. La correspondance échangée par les différents membres de la famille lors de la Première Guerre mondiale (accompagnée de photographies) illustre aussi parfaitement l'expérience traumatisante vécue par les Héraultais, tant sur le Front qu'à l'arrière. Enfin, les archives des deux domaines viticoles de Béziers et Montouliers permettent l'étude de l'évolution économique des domaines viticles du département entre le XIXe et le XXe siècle.

Cote :

87 J 1-96

Publication :

Archives départementales de l'Hérault
2013 ; revu et augmenté en 2018

Informations sur le producteur :

Famille Mondié
- I. Henri Marc Mondié (18 mai 1831 - 1911) et Laetitia Julie Calas, son épouse.
- II. Henri Marc Vincent Mondié (né le 5 avril 1871).

Famille Nicolas
- Ia. Alexis Antoine Nicolas (né le 20 novembre 1832).
- Ib. Dominique Nicolas (28 mars 1830 - 1902) et Hélène Bouys (1828-1871), sa première épouse, puis Jeanne Laspeyres (décédée en 1926), sa seconde épouse.
- II. Baptiste Nicolas (6 janvier 1863 - 15 juillet 1897) et Henriette Antoinette Marguerite Mondié (née le 26 janvier 1867), son épouse.
- III. André Jean Marie Nicolas (23 août 1894 - 20 décembre 1970) et Marie Antoinette Paule Cougnenc (née le 19 mars 1905), son épouse.
- IV. Jean Nicolas (né le 29 octobre 1926), Paulette Nicolas (née en 1935), Suzette Nicolas (sd), Robert Nicolas (sd).

Famille Bouys
- I. Jean-Baptiste Bouys (décédé le 18 avril 1884) et Esprite Fabre, son épouse.

Famille Cougnenc
- I. Lucien Cougnenc (né en 1870) et Marguerite Antoinette Thérèse Bachès, son épouse.
- II. Paul Henri Pierre Cougnenc (12 janvier 1898 - 10 octobre 1918), Lucie Berthe Pauline Cougnenc (née le 4 juillet 1903).
Famille Mondié
Henri Marc Mondié (1831-1911), exploitant agricole de Montouliers, est l'époux de Julie Calas. Le couple a deux enfants : Henriette Mondié, née en 1867, et Henri Marc Vincent Mondié, né en 1871.
Henriette Mondié épouse Baptiste Nicolas (1863-1897) le 4 avril 1893.
Henri Marc Vincent Mondié, comme son père, s'engage dans la vie politique locale et occupe les fonctions de maire de Montouliers de 1894 à 1912. Après son service militaire effectué en 1891, il est mobilisé comme « territorial » en 1916-1917. De retour à la vie civile, il se consacre à la gestion du domaine viticole familial de Montouliers. Sans descendant, il lègue tous ses biens à André Nicolas, son neveu.

Famille Nicolas
Au milieu du XIXe siècle, les deux frères Alexis Nicolas (né en 1832) et Dominique Nicolas (1830-1902), agriculteurs à Béziers, acquièrent de nombreux terrains pour constituer un domaine viticole à Béziers, et dans les localités environnantes.
Fils de Dominique Nicolas, Baptiste Nicolas naît le 6 janvier 1863 à Béziers. Il embrasse la carrière d'architecte après avoir suivi un cours préparatoire aux Arts et métiers et à l'Ecole Centrale entre 1878 et 1881, au sein de Ecole professionnelle Dombre d'Aix-en-Provence. Il dirige un cabinet d'architecte à Béziers jusqu'à son décès prématuré en 1897. Baptiste Nicolas épouse Henriette Mondié en 1893 ; le couple a un fils unique, André Nicolas. Après le décès de son mari le 15 juillet 1897, Henriette Mondié-Nicolas quitte Béziers et s'installe avec son fils André chez sa mère et son frère à Montouliers. Elle y demeure jusqu'à son décès en 1936.
André Jean Marie Nicolas naît le 22 août 1894 à Béziers. Demeurant à Montouliers avec sa mère et son oncle Henri Mondié, il effectue sa scolarité au collège de Béziers, à l'Université de Montpellier, et enfin à la faculté de Toulouse, en mathématiques spécialisées. Sa scolarité est interrompue par la Première Guerre mondiale. Convoqué devant le conseil de révision pour la classe 1914 (matricule n° 1353, recrutement de Béziers), André Nicolas est incorporé le 7 septembre 1914 comme soldat de 2e classe au 6e bataillon de chasseurs à pied (6e BCP). Le 27 juillet 1918, il est versé au 8e régiment du génie (8e RG) et démobilisé le 18 août 1919. Ses archives militaires, conservées dans le fonds d'archives familiales, sont complétées par la correspondance fournie qu'il échange avec sa mère et son oncle pendant et après le conflit jusqu'à la fin de l'année 1919. André Nicolas gagne ensuite Paris pour terminer ses études à l'Ecole Supérieure d'Electricité, où il suit un cycle de formation de deux ans qu'il achève en 1922. Il épouse Marie Cougnenc (1905-1995) le 14 avril 1925. Le couple s'installe à Toulouse, puis à Clamart-sur-Seine où il élève ses quatre enfants Jean, Paulette, Suzette et Robert. André Nicolas décède à Montouliers en 1970. Marie Cougnenc meurt en 1995 (c'est de sa main que la plupart des photographies et dessins conservés dans le fonds d'archives familiales sont identifiés).

Famille Cougnenc
Lucien Cougnenc (né en 1870), boulanger à Montouliers, et son épouse Marguerite Bachès ont trois enfants : Paul Cougnenc (né le 12 janvier 1898 et décédé au Front le 10 octobre 1918), Lucie Cougnenc (née le 4 juillet 1903) et Marie Cougnenc. La famille Cougnenc s'allie à la famille Nicolas par le mariage de Marie Cougnenc et André Nicolas en 1925.

Famille Bouys
La famille Bouys est alliée à la famille Nicolas par le mariage en premières noces de Dominique Nicolas (1830-1902) et d'Hélène Bouys (1828-1871).

Informations sur l'acquisition :

87 J 1-86 : don Paulette Cabail et Suzette Groshenry (entrée n° 3038, 10 septembre 1996).
87 J 87-96 : don Irène Groshenry-Tolleré (entrée n° 6572, 16 février 2018).

Description :

Mise en forme :
ARCHIVES DE FAMILLES (1861-1951) : 87 J 1-67.

- Famille Mondié : Henri Marc Mondié et Laetitia Julie Calas (1880-1914, 87 J 1-3), Henri Marc Vincent Mondié (1880-1943, 87 J 4-16, 67).

- Famille Nicolas : Dominique Nicolas et Hélène Bouys, puis Jeanne Laspeyres (1902-1928, 87 J 18), Baptiste Nicolas et Henriette Antoinette Marguerite Mondié (1878-1924, 87 J 19-35), André Dominique Marie Nicolas et Marie Antoinette Paule Cougnenc (1894-1951, 87 J 36-56, 67, 87-96), et Jean, Robert, Paulette et Suzette Nicolas (1937-1944, 87 J 10, 57).

- Familles alliées. - Famille Bouys : Jean-Baptiste Bouys et Esprite Fabre (1861-1884, 87 J 58). Famille Cougnenc : Lucien Cougnenc et Marguerite Antoinette Thérèse Bachès (1882-1922, 87 J 59-61), Paul Henri Pierre Cougnenc (1910-1920, 87 J 62-65 et 67), Lucie Berthe Pauline Cougnenc (1910-1916, 87 J 66).

- Tirages argentiques de photographies des familles Nicolas, Mondié, Delos, Cougnenc et autres, annotées de la main de Marie Cougnenc, épouse Nicolas [1900-1933] : 87 J 67.


ARCHIVES DOMANIALES (1826-1946) : 87 J 68-86.

- Domaine de Montouliers (1859-1946) : 87 J 68-85.

- Autres domaines (1826-1935) : 87 J 86.

Conditions d'accès :

Communication libre.

Conditions d'utilisation :

Se référer au règlement intérieur de la salle de lecture.

Description physique :

Importance matérielle :
7,40

Ressources complémentaires :

AD 34, 170 EDT : Archives communales déposées de Montouliers (1665-1914), comprenant notamment les archives politiques d'Henri Mondié de 1901 à 1911 (170 EDT 19).

Références bibliographiques :

ABBAL Odon. Les Héraultais dans la Grande Guerre. - In : Etudes héraultaises 1989-1990, n° 5-6, p. 177-180. Disponible en ligne : http://www.etudesheraultaises.fr/wp-content/uploads/1989-1990-21-heraultais-grande-guerre.pdf
ARCHIVES DÉPARTEMENTALES DE L'HÉRAULT. Hérault de guerre 14-18. - Albi : Un Autre Reg'Art Editions, 2018. 132 p. Disponible aux Archives départementales de l'Hérault (cote BIB 9206)
HYACINTHE Rafaël. Le fonds des familles Nicolas et Mondié et la correspondance militaire d'André Nicolas : contribution à la commémoration de la Première Guerre mondiale. - In : Etudes héraultaises 2014 n° 44-2. p. 19-30. Disponible aux Archives départementales de l'Hérault (cote PAR 3714/4)
SECONDY Louis. Élèves et maîtres dans l'Hérault pendant la guerre de 1914-1918. - In : Etudes héraultaises 2015, n° 45. p. 49-60. Disponible aux Archives départementales de l'Hérault (cote 3714/4)

Organisme responsable de l'accès intellectuel :

Archives départementales de l'Hérault

Identifiant de l'inventaire d'archives :

FRAD034_M_000030

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