Inventaire d'archives : Archives du château de Saint-Fargeau (XIVe-XIXe siècles)

Contenu :

Le chartrier couvre sept siècles, du XIIIe au XXe, avec des alternatives d’abondance et de pénurie documentaires, qu’il s’agisse de papiers personnels ou domaniaux. À titre d’exemple, la Grande Mademoiselle n’a pas laissé à Saint-Fargeau d’archives personnelles, mais nous sommes assez bien renseignés sur la gestion de la seigneurie par son conseil.
Certains types de documents retiennent l’attention.
1. . - Ceux de la seigneurie de Puisaye commencent en 1385 et les derniers comptes domaniaux datent de 1965, avec d’importantes lacunes cependant : entre 1417 et 1459, pendant l’administration du cardinal de Bar et des Montferrat, alors que la seigneurie était engagée à Georges de La Trémoille ; entre 1570 et 1751 (peut-être faut-il y voir le résultat de l’incendie qui ravagea la ville et le château en 1751). L’importance de ces documents n’est plus à prouver. À titre d’exemple, les comptes barrois font revivre l’extraordinaire activité qui régnait autour de Robert et de Yolande et que nous connaissons bien par ailleurs : baillis, sergents, messagers sillonnaient les routes entre Bar, Paris, Saint-Fargeau, Montargis, Sens pour porter des lettres, répondre aux exigences des procédures, au Châtelet, au Parlement, devant le bailli de Sens, pour rencontrer le duc ou la duchesse, signer des contrats, faire des démarches en vue d’achat de forteresses ou de terres, pour transporter de l’argent. Dans un autre ordre, on peut suivre pendant six cents ans le travail des maçons et des charpentiers qui n’ont cessé de construire et de réparer murs et toitures du château.Les comptes
A partir de 1543 et jusqu’en 1574, est conservée une série de comptes de la dépense ordinaire et extraordinaire des seigneurs eux-mêmes : Nicolas d’Anjou et Gabrielle de Mareuil, Renée d’Anjou et François de Bourbon-Mont-pensier. Ils révèlent le menu détail de la vie quotidienne : nourriture, vêtements, voyages, chevaux, maladies, cadeaux sont les principaux postes et chaque journée est vue et signée par l’un ou l’autre seigneur ou le receveur. Les sommes reçues sont comptabilisées au début de chaque mois avec mention de leur origine.
Le chartrier de Saint-Fargeau, conserve aussi des comptes particuliers à certaines seigneuries, Perreuse, Toucy, etc., et d’autres étrangers à la Puisaye, qui faisaient partie des archives de terres ayant appartenu momentanément aux seigneurs de Saint-Fargeau, telles Courtenay, Corvol-d’Embernart, Marcy, Dammartin, Sévérac, etc. Ces comptes remontent le plus souvent au XVe siècle.
2. . - Il n’y eut pas de seigneur sans procès, mais Nicolas d’Anjou fut renommé pour son caractère procédurier ; les liasses de procédure conservées ici en témoignent et permettraient une étude inédite des familles de Rambures, d’Arpajon, de La Trémoille, de Boulainvilliers, de Polignac, pour ne citer que les principales. Au XVIIe siècle, la Grande Mademoiselle sera en procès avec Marc Poulet, fermier de la seigneurie de Septfonds et collecteur des tailles à Saint-Fargeau, procès qui durera un demi-siècle et dont le dossier est considérable.Les procédures
En outre, le plus ancien registre des assises tenues par le bailli de Puisaye date de 1393 ; trois sont conservés pour le XVe siècle et quelques registres de greffe pour les XVIe et XVIIe siècles. Les dossiers de procédure civile et criminelle sont abondants entre 1491 et 1590.
3. . - Tous les seigneurs ont laissé un dossier de correspondance, plus ou moins copieux, mais souvent d’un intérêt historique certain, telle la lettre du comte de Saint-Pol à Antoine de Chabannes du 20 septembre 1472 ou celle de Louis XII à Jean de Chabannes à propos de son mariage avec Jeanne de France. La correspondance reçue par François de Bourbon-Montpensier est remarquable par sa masse : les membres de sa famille, les agents qui administrent ses seigneuries, les procureurs et les avocats qui défendent ses causes, les gens de la cour qui lui envoient les dernières nouvelles, ses vassaux de Mirebeau et des environs, qui lui doivent le service armé, les parlementaires et les officiers du Dauphiné qui le tiennent au courant des événements survenus dans son gouvernement, toutes ces lettres, entre 1576 et 1588, constituent une imposante documentation qui n’a pas été explorée. Bien que moins riche, la correspondance reçue par les Le Peletier et les Anisson est intéressante et apporterait souvent des précisions sur des événements et des décisions politiques des XVIIe et XVIIIe siècles.La correspondance
4. . - Michel-Robert Le Peletier des Forts déposa au château qu’il venait d’acquérir des dossiers venant probablement de son aïeul, Louis Le Peletier qui avait été commis de Charles de Beauclerc, ce qui explique la présence de copies et de minutes de lettres de Henri IV, de lettres adressées à Villeroy et de lettres, rapports, mémoires, pamphlets se rapportant au règne de Louis XIII ; il convient de signaler une correspondance entre Michel de Morgues, aumônier de Marie de Médicis, Charles de Beauclerc et Louis Le Peletier et une autre entre Michel Le Tellier et Louis Le Peletier.Les papiers publics
Parmi les papiers de Michel Le Peletier de Souzy, il convient de remarquer les archives trouvées au château de Heidelberg lors de sa prise en 1693 et remises dès 1694, en partie du moins, par M. Desmarêts, capitaine du régiment de Picardie, à Le Peletier qui était alors directeur des fortifications. On y découvre l’information sur le départ de Charlotte de Bourbon quand elle quitta l’abbaye de Jouarre en 1572.
Quelques lettres du roi, de Saint-Florentin, adressées à Michel-Étienne Le Peletier de Beaupré sont conservées à Saint-Fargeau ainsi qu’une correspondance relative à sa mission en Bretagne en 1764-1766.
Enfin, dans le fonds que les Anisson du Perron ont laissé au château, outre les documents concernant l’Imprimerie royale (qui complètent la collection Anisson sur l’histoire de l’imprimerie et la librairie, conservée à la Bibliothèque nationale dont l’inventaire à été rédigé par Ernest Coyecque (, Paris, 1900, 2 vol.), on notera quelques feuillets provenant d’un registre d’Ordres du roi au gouverneur de la Bastille, actuellement conservé au British Museum, n° 15890 (novembre-décembre 1665).Inventaire de la collection Anisson
Bien que succinct, le présent inventaire devrait permettre au chercheur de deviner toutes les richesses de ce fonds : la Puisaye, ses étangs, ses forêts, la répartition de ses cultures et de son habitat ; le milieu social, le train de vie d’une vieille famille médiévale, les Bar, de familles de la haute noblesse du XVIe siècle, les Anjou, les Bourbon-Montpensier, d’une famille de grands commis du XVIIIe siècle, les Le Peletier ; l’archéologie à tous niveaux, le château et ses dépendances, l’église capitulaire, la halle de la ville, les forges, les fours à chaux, les moulins, les fours à pain, les maisons paysannes.

Cote :

90AP/1-90AP/225, 4MI/1 et 4MI/9

Publication :

Archives nationales (France)
2018

Informations sur le producteur :

Le Peletier (famille)
Bourbon, Suzanne de (1473-1531 ; comtesse de Roussillon)
Montpensier, Anne-Marie-Louise-Henriette d'Orléans (1627-1693 ; duchesse de)
Orléans, Marie de Bourbon (1605-1627 ; duchesse de Montpensier et d’)
Le Peletier de Saint-Fargeau, Suzanne Louise (1782-1829)
La Puisaye n’est pas seulement une région naturelle aux contours mal définis, mais aussi, dès le XIIIe siècle, une seigneurie dont le centre était Saint-Fargeau : seigneurie de Puisaye ou seigneurie de Saint-Fargeau, cette dernière expression subsistera seule au XVIe siècle. En 1541 elle sera érigée en comté, en 1576, en duché-pairie, en 1718, de nouveau en comté. Elle changea souvent de maîtres au cours des siècles.
Après la famille de Toucy, la maison de Bar l’acquit par mariage de Jeanne de Toucy avec Thiébaut, comte de Bar, en 1255 et la conserva jusqu’en 1430. En fait, la mort des deux fils de Robert, duc de Bar, à Azincourt, en 1415, ouvrit une période d’insécurité pour la Puisaye ; le seul héritier mâle, le cardinal de Bar, grevé de dettes, engagea la Puisaye à Georges de La Trémoille et, en 1446, la veuve de ce dernier en faisait encore hommage au roi de France ; années de misère car une terre engagée ne sert au créancier qu’à recouvrer ce qu’on lui doit. En 1450, Jacques Cœur l’acquiert des héritiers du cardinal, les Montferrat, mais l’année suivante il est arrêté et ses biens saisis ; en 1456, la seigneurie de Saint-Fargeau est adjugée à Antoine de Chabannes, grand maître d’hôtel de France. Commence alors pour elle une période de relative stabilité. À nouveau par les femmes se succèdent, après la mort de Jean de Chabannes, les Anjou-Mézières : René et Nicolas ; puis les Bourbon-Montpensier : François, Henri et Marie ; c’est l’éminente situation de cette famille qui valut à Saint-Fargeau de devenir duché-pairie, pendant près d’un siècle.
Bien que leurs fonctions auprès des rois et surtout leur participation aux guerres d’Italie puis de Religion, ne leur aient pas permis de résider souvent à Saint-Fargeau, ils prêtèrent une réelle attention à la gestion du domaine ; d’ailleurs Gabrielle de Mareuil, épouse de Nicolas d’Anjou, qui vécut fort âgée jusqu’en 1593, y fit de nombreux séjours. La mort prématurée de Henri de Bourbon-Montpensier puis de sa fille, Marie, à 22 ans, en 1627, ouvrit pour la seigneurie une nouvelle période d’incertitude, moins grave cependant que celle du XVe siècle, car il n’y avait pas de guerre et les structures administratives pouvaient fonctionner ; pour en juger plus précisément il faudrait analyser les papiers laissés par les fermiers de la seigneurie. Quand Marie-Louise de Montpensier, la « Grande Mademoiselle », arriva, une nuit d’hiver 1652, à Saint-Fargeau, chassée de Paris par Louis XIV, elle trouva, dit-elle, une vieille maison où il n’y avait ni porte, ni fenêtres et de l’herbe jusqu’au genou dans la cour. Elle dépensera 200 000 livres à rénover le château, mais l’abandonnera en 1657. Après Lauzun, le financier Antoine Crozat ne resta pas plus longtemps que Jacques Cœur, mais, à la différence de ce dernier, n’y laissa aucun souvenir.
En 1715, enfin, Saint-Fargeau connut de nouveaux maîtres appartenant à une couche sociale tout autre. Les Le Peletier, d’origine mancelle, anoblis au début du XVIIe siècle, au moment où Michel-Robert Le Peletier des Forts en devint seigneur, sont, parmi la noblesse de robe, une des familles les plus représentatives et les plus riches. Michel-Robert est intendant des finances, conseiller d’État et doyen du Conseil à sa mort ; son frère Claude avait été contrôleur général. Cinq générations se succéderont jusqu’à la fin du XVIIIe siècle, conseillers et présidents au Parlement de Paris, conseillers d’État, alliés aux grandes familles parlementaires, Aligre, Lamoignon de Bâville, Le Peletier de Beaupré, Joly de Fleury ; par ailleurs esprits brillants et cultivés : Michel-Robert est membre de l’Académie des Sciences, son petit-fils, Michel-Étienne est en relation avec des hommes de lettres et de sciences ; le dernier, Louis-Michel, membre de l’Assemblée nationale, puis élu député à la Convention, mourut tragiquement en 1793. Bien que sa fille et ses frères eussent abandonné Saint-Fargeau pour venir à Paris, le château et le domaine échappèrent aux pillages, après le 9 Thermidor.
Lorsque Louise-Suzanne épousa Léon Le Peletier de Mortefontaine, son cousin, en 1809, ils revinrent habiter Saint-Fargeau et Léon rénova le domaine, remodela le parc. À sa mort, en 1814, sa veuve abandonna à nouveau ce lieu, et ce n’est qu’à partir de 1827 que leur fille et son mari, Édouard, marquis de Boisgelin, pair de France, puis leur petit-fils Bruno redonnèrent vie au domaine, Bruno le donna à une de ses filles qui épousa Jacques Anisson du Perron, vieille famille lyonnaise dont le nom fut associé pendant trois siècles à la librairie française et à l’Imprimerie royale puis nationale. Les enfants de Jacques, Roger et Alexandre, la marquise et le marquis d’Ormesson entretinrent et animèrent ce château jusqu’à la fin.

Informations sur l'acquisition :

Prêt pour microfilmage (1950), puis dépôt (entrée n° 2023 de septembre 1966).
Historique de conservation :
Les archives du château de Saint-Fargeau étaient connues des érudits dès le XIXe siècle. En 1838, Buchon édita l’adjudication des biens de Jacques Cœur à Antoine de Chabannes ; en 1856, Dey, dans son histoire de Saint-Fargeau, utilisa certains documents qui faisaient alors l’objet d’un classement particulier, et, en 1893, le comte H. de Chabannes publiait plusieurs pièces concernant Antoine et Jean de Chabannes.
Lorsqu’en 1950, la marquise d’Ormesson et M. Anisson du Perron demandèrent aux Archives nationales de faire connaître aux historiens les richesses de leurs archives, celles-ci se trouvaient dans deux pièces spécialement aménagées, conservées dans des boîtes de bois parfaitement à l’abri des rongeurs et de l’humidité, pour la majeure partie ; le reste, souvent de date plus récente, était enfermé dans des cartons dans deux autres pièces, le fonds Anisson du Perron ayant place dans la bibliothèque. Un inventaire fut alors établi sans classement préalable et un microfilm sélectif mit à la disposition des historiens l’essentiel des documents.
En 1966, lorsque les maîtres de ce château durent l’abandonner, c’est aux Archives nationales qu’ils voulurent déposer la totalité de leurs précieuses archives (près de trente mètres linéaires).
Très tôt, elles avaient été l’objet de classements et d’inventaires. Le premier que nous connaissons date de 1609 (en trois exemplaires), mais dès 1550 on tenait registre des documents empruntés (en double exemplaire). On refit un inventaire en 1766. À cette époque, un officier du bailliage, Reynaud, classait et annotait procédures, missives et pièces comptables, tandis qu’un feudiste traitait le chartrier lui-même, titres de propriété, transactions, usages, droits seigneuriaux. Mais le désordre s’installa vite ; à l’occasion des difficiles successions qui se chevauchèrent à la fin du XVIIIe siècle, on dut extraire des documents souvent anciens pour constituer des dossiers de procédure qui existent encore. En outre, au milieu du XIXe siècle, on procéda à un choix de pièces jugées les plus intéressantes et elles furent cotées et inventoriées à part ; enfin il semble que l’installation dans les boîtes de bois, dont nous avons parlé, fut aussi un facteur de désordre.
Lorsque le chartrier arriva aux Archives nationales, j’ai essayé de le classer ; je retrouvais le classement du feudiste ou de Reynaud, c’est ainsi, par exemple, que j’ai conservé l’ordre chronologique donné à la correspondance reçue par François de Bourbon-Montpensier. Mais je dus aussi créer un cadre pour les papiers personnels et domaniaux qui étaient dispersés et n’avaient jamais eu de cote. Les documents comptables des années 1946-1965 et quelques pièces venus après le classement ont fait l’objet d’un supplément.

Conditions d'accès :

Communication libre, selon les modalités en vigueur aux Archives nationales.

Conditions d'utilisation :

Reproduction soumise à l’autorisation des ayants-droit.

Description physique :

Importance matérielle :
223 cartons (90AP/1-90AP/225) et 2 bobines de microfilm (4MI/1 et 4MI/9) ; 31 mètres linéaires.

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Localisation physique :

Pierrefitte-sur-Seine

Organisme responsable de l'accès intellectuel :

Archives nationales (France)

Identifiant de l'inventaire d'archives :

FRAN_IR_001870

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