Inventaire d'archives : POSTES ET TELECOMMUNICATIONS
Contenu :
Des pistes de recherche historique
Les documents composant la sous-série réglementaire 6P concernent les Postes, Télégraphes
et Téléphones. Ces archives s'ancrent dans une histoire générale des moyens de
communication. Le fonds conservé aux Archives départementales des Yvelines expose de façon
concrète le fonctionnement et l'organisation du service postal entre 1793 et 1940. Sous le
Second Empire, l'essor du chemin de fer concurrence ainsi vivement la Poste aux chevaux.
Chargée des relais pour les voyages rapides, cette dernière disparaît en 1872-1873 comme
l'illustre les dossiers de suppression de relais présents dans le fonds (6 P 1). La Poste
aux lettres poursuit quant à elle le développement des moyens de communication. Il est
possible de tracer une histoire de l'implantation des équipements postaux en Seine-et-Oise.
En effet, chaque municipalité effectue régulièrement des requêtes et autres réclamations. La
préfecture sert alors d'intermédiaire avec l'administration des Postes, devenue P&T puis
PTT. Tout le processus aboutissant à une ouverture d'agence postale ou une installation de
boîte aux lettres se trouve dans la sous-série 6 P. Ce type d'étude s'ancre alors dans une
histoire de la conquête de l'espace et de nouveaux territoires. Il parait possible de
souligner les axes de circulation et de modéliser la pénétration des courriers, des hommes
et des idées dans l'espace départemental de Seine-et-Oise. A partir de 1830, la
généralisation de la distribution un jour sur deux dans les campagnes souligne l'emprise des
développements postaux et de la circulation de l'information. Ce fonds constitue un parfait
complément de l'organisation du service des Postes à l'échelle nationale. Au niveau local,
l'histoire postale peut être documentée à partir de telles sources.
L'étude particulière du télégraphe est une seconde perspective possible. Les documents sont
symboliques de l'évolution et des progrès techniques de cet outil durant tout le XIXe
siècle. La télégraphie électrique remplace l'optique, également appelé aérien. Le système
initié par les frères Chappe en 1793 tombe progressivement en déshérence comme l'expose les
dossiers de ventes des postes de télégraphie aérienne (6 P 38). De façon similaire,
l'expansion du téléphone est visible à partir de la sous-série. Le fonds présente
l'installation de chaque ligne téléphonique dans l'ensemble des communes du département (6 P
80-128). Toute demande rédigée par un abonné, une entreprise ou une municipalité fait
l'objet d'une enquête préalable, rapports de l'administration des Ponts et Chaussées et
croquis à l'appui. La conquête de l'espace par le réseau téléphonique est éclairée par la
consultation de ce type de documents.
Enfin, l'aspect humain n'est pas à négliger dans la sous-série 6P. La kyrielle des métiers
inhérents aux Postes, Télégraphes et Téléphones est perceptible. Les modalités de
recrutement sont abondamment explicitées. Chaque candidat fait l'objet d'une enquête visant
à renseigner sa conduite, ses garanties morales, son histoire familiale ainsi que l'ensemble
de ses motivations. Ce travail est réalisé par les mairies, sous-préfectures ou
commissariats de police. La préfecture compile ses données pour fournir matière à
l'administration des PTT, afin de se faire un avis sur le postulant. A partir de cette masse
documentaire, il est possible d'avoir une vue d'ensemble des prétendants et de déterminer
les critères-types de candidatures. Des recherches généalogiques complémentaires peuvent
également s'appuyer sur ces fiches de renseignements décrivant l'ensemble d'une lignée
familiale. De façon similaire, le personnel déjà en place fait également l'objet d'une
surveillance régulière, également effectuée par l'utilisation de fiches de renseignements.
Cela renvoie à une histoire sociale des personnels des PTT, capable de prolonger le succès
de l'étude des structures familiales survenu durant les années 1950-1970. " Une analyse
démographique du personnel postal serait la bienvenue à plus d'un titre : dépassant
l'approche administrative proposée par Eugène Vaillé, une connaissance mathématique des
populations des Postes permettrait ainsi une meilleure connaissance de la mobilité
géographique et sociale dans la France " ( COMITE POUR L'HISTOIRE DE LA POSTE, Le guide de
recherche sur l'histoire de la Poste en France des origines au Premier Empire, Apostille,
Paris, 2005, 329 p.). Dans cette sous-série, les informations fournies à titre de mutations,
d'avancement ou de recrutement peuvent servir de base préalable à une étude débordant les
limites territoriales de l'ancienne Seine-et-Oise.
Plusieurs axes de recherche peuvent donc découler des archives des Postes et
Télécommunications conservées aux Archives départementales des Yvelines. Il faut toutefois
clairement expliciter que le fonds possède pour l'essentiel un aspect complémentaire. Tout
travail d'historien doit logiquement multiplier et confronter un ensemble de sources. Ce
fonds doit être une base intéressante pour aborder les sources de l'histoire postale et des
télécommunications conservées dans d'autres lieux.
Cote :
6P 1-256
Publication :
Archives départementales des Yvelines et de l'ancienne Seine-et-Oise
2007
Montigny-le-Bretonneux
Informations sur le producteur :
Le rôle de la préfecture de Seine-et-Oise
Les archives relatives aux Postes et Télécommunications sont produites par la préfecture de
Seine-et-Oise entre 1792 et 1949. Il s'agit pour l'essentiel de dossiers soumis au préfet
pour décision, concertation ou simple information. Les thèmes principaux sont les
renseignements à fournir sur le personnel et le développement du réseau postal dans le
département. L'émergence du télégraphe suivie de la création du réseau téléphonique
deviennent également perceptibles par l'entremise de ce type de documents.
Au fil du temps, la dénomination du bureau préfectoral compétent évolue. L'annuaire de
Seine-et-Oise fournit les renseignements nécessaires concernant le développement des
attributions de ce service. En charge initialement de la nomination du personnel des Postes,
la 4ème division succède à une direction des Postes aux Lettres en 1859. A partir de la fin
des années 1880, cette tâche est dévolue de façon continue au 1er Bureau de la 2e Division.
Les prérogatives de celui-ci progressent avec la naissance et le succès immédiat du
téléphone. La préfecture de Seine-et-Oise effectue donc un suivi complet des activités
rattachées aux Postes, Télégraphes et Téléphones dans le département. La diversité de ses
missions peut être résumée dans la liste suivante.
-exploitation des bureaux de postes
-distribution des correspondances postales et télégraphiques
-gérance des cabines téléphoniques
-franchise postale
-demandes et vœux des assemblées territoriales
-circuits téléphoniques
-installation des lignes aériennes et souterraines
-arrêtés d'autorisation
-extension du réseau départemental
-installations téléphoniques communales
-conférence régionale semestrielle, (instituée entre 1927 et 1933)
-affaires diverses
Informations sur l'acquisition :
Des versements réguliers de la préfecture
Produites par la préfecture de Seine-et-Oise, les archives relatives aux Postes et
Télécommunications sont publiques. En vertu de la loi sur les archives (1979), elles font
l'objet d'un versement de caractère obligatoire et réglementaire dans le service public
d'archives compétent. Les documents composant la sous-série 6P ont suivi cette voie d'entrée
ordinaire afin d'être conservés aux Archives départementales de Seine-et-Oise, devenues
Yvelines en 1968. Les services de la préfecture, pour l'essentiel le 1er bureau de la 2ème
division, ont effectué de nombreux versements pour constituer l'ensemble du fonds des Postes
et Télécommunications. Ce processus est attesté par la présence des étiquettes originelles
de versement dans les liasses, synonyme d'une pratique concertée et régulière. La date
précise du versement est précisée ainsi que la place attribuée à ces documents dans l'espace
de conservation. A partir de ces éléments, une vingtaine de versements est recensée,
s'échelonnant entre 1892 et 1969.
Description :
Critères de sélection :
En application de la loi du 10 juillet 1964, l'entité territoriale " Seine-et-Oise " est
supprimée le 1er janvier 1968. Elle est démembrée afin de créer les départements de
l'Essonne, du Val-d'Oise et des Yvelines. Quelques communes forment également des espaces
des Hauts-de-Seine, de la Seine-Saint-Denis et du Val-de-Marne. Cette histoire
administrative influence les modalités de traitement du fonds. En 2002, la sous-série cotée
provisoirement P/poste subit une première dévolution. Un récolement sommaire est réalisé
afin d'extraire les documents dépendant du ressort territorial du Val-d'Oise. Les archives
concernant les communes de ce département sont désormais conservées aux Archives
départementales du Val-d'Oise, situées à Cergy-Pontoise. Les principes de respect du fonds
et celui de la territorialité institutionnelle ont déterminé le choix des transferts. Lors
de la réalisation de cet instrument de recherche, une nouvelle dévolution a été décidée.
Pour une meilleure pertinence historique, les dossiers d'installation des lignes
téléphoniques vont subir une dévolution en direction des départements franciliens. Extraits
et classés, seuls les dossiers de lignes des communes yvelinoises sont intégrés dans le
classement de la sous-série 6 P. A partir de cette typologie documentaire, il est en effet
possible de retracer l'expansion du réseau téléphonique de chaque commune de l'ancienne
Seine-et-Oise. Pour faciliter la recherche, il est paru opportun que ces dossiers techniques
retrouvent leur place au sein des Archives départementales compétentes.
Lors du travail de classement, quelques éliminations ont été pratiquées. Dépourvus
d'intérêt historique, les doublons et autres bordereaux isolés d'envois de pièces ont été
extraits. Un travail important de reclassement a également eu lieu. Au gré des circonstances
historiques, la conservation des documents a été altérée ; matériellement, les liasses sont
surabondantes et les extrémités des feuilles sont souvent déchirées, froissées ou pliées.
Des dossiers étrangers au contenu réel du fonds se trouvent de plus rangés dans la série
provisoire P/poste. Ceux-ci correspondent par exemple à des documents comptables
préfectoraux datant des années 1950 ou à un ensemble de dépêches télégraphiques reçues par
le préfet. C'est la raison pour laquelle de nombreuses liasses ont été réintégrées dans
leurs séries respectives du cadre de classement réglementaire.
Au niveau du tri, les fiches de candidatures au métier de facteur demeurent enfin en
suspens. Représentant une abondante masse documentaire, ils doivent encore faire l'objet
d'un classement alphabétique pièce à pièce, afin d'en assurer une diffusion adéquate auprès
des chercheurs. Ces documents s'intégreront par la suite au niveau des cotes 6 P
224-256.
Mise en forme :
Le choix d'un classement chronologique
La circulaire AD 98-8 du 18 décembre 1998 fait la synthèse des textes législatifs
existants, relatifs au classement et à la cotation des archives dans les services d'archives
départementales. Reprenant l'ordre fourni antérieurement par la circulaire AD 65-29 (16
décembre 1965), un agencement thématique est proposé pour la sous-série 6P. Les parties du
plan de classement s'articulent autour des intitulés suivants :
- administration générale
- postes
- télécommunications
- services spéciaux ; affaires relatives aux caisses d'épargne postales et aux centres de
chèques postaux
- redevances radiophoniques
Administration des Postes (1793-1877) - Direction des Lignes Télégraphiques (1793-1877)
Ministère des Postes et Télégraphes
(1878-1887)
Administration des Postes, Télégraphes et Téléphones
(1888-1940)
l'administration des Postes
Sous l'Ancien Régime, les attributions dévolues à l'administration des Postes se composent
de trois services séparés, puis réunis à la Révolution : la Poste aux lettres chargée des
correspondances publiques et privées, la Poste aux chevaux qui s'occupe des relais pour les
voyages rapides et les Messageries en charge des voitures publiques et des diligences. Après
des atermoiements durant laquelle l'administration des Postes évolue entre les systèmes de
fermage et de régie, cette entité devient une direction générale en 1804. Durant la majeure
partie du XIXe siècle, la dénomination oscille ensuite entre l'administration des Postes et
la direction de l'Exploitation Postale. Cet ensemble demeure toutefois rattaché de façon
continue au ministère des Finances.
la direction des Lignes Télégraphiques
En juillet 1793, un nouveau moyen de communication naît de l'imagination des frères Chappe
: le télégraphe. Des signaux optiques sont propagés à partir d'appareils et d'individus
postés à des intervalles de distances. En cette période historique troublée, le Comité de
Salut Public saisit l'importance d'une telle nouveauté pour accélérer la transmission des
communications militaires. Dès l'origine, le télégraphe fait partie intégrante du ministère
de la Guerre. Les lignes Paris - Lille et Paris - Landau via Strasbourg sont construites en
direction du théâtre des opérations militaires. " Le 31 décembre 1797, le télégraphe
[optique] quitte le ministère de la Guerre pour être placé dans le giron de celui de
l'Intérieur qu'il ne quittera plus jusqu'à sa disparition " (FEDERATION NATIONALE DES
ASSOCIATIONS DE PERSONNEL DES POSTES ET TELECOMMUNICATIONS POUR LA RECHERCHE HISTORIQUE
(FNARH), La télégraphie Chappe, Jarville-La-Malgrange, 1993, 441 p.). L'émergence du
télégraphe électrique et l'ouverture de cet outil de communication au public (1851) ne
bouleversent en rien cette organisation institutionnelle. L'administration des Télégraphes
ou la direction des Lignes Télégraphiques selon l'appellation en vigueur, fonctionne de
cette manière jusqu'en 1877. Le télégraphe est alors exploité en régie par le ministère de
l'Intérieur qui dispose du monopole de la construction et de l'exploitation du réseau.
le ministère des Postes et Télégraphes
En 1878, l'administration du Télégraphe fusionne avec celle des Postes. Un ministère des
Postes et Télégraphes autonome fonctionne entre 1879 et 1887. Après cette date, cette
nouvelle entité commune s'ancre à nouveau dans le giron du ministère des Finances.
l'administration des Postes, Télégraphes et Téléphones
En 1889, l'Etat rachète le réseau téléphonique, qui avait été confié à la Société Générale
des Téléphones. Le nouveau service est intégré à la direction des Postes et Télégraphes. Les
trois thématiques du fonds sont réunies sous la tutelle d'une même institution. C'est la
raison pour laquelle, cette étape correspond à la dernière grande partie de l'instrument de
recherche. Conservant sa dénomination bicéphale, cette administration s'occupe malgré tout
du téléphone. Ce n'est qu'en 1925 que la structure prend officiellement l'acronyme demeuré
célèbre PTT (Postes, Télégraphes et Téléphones). La dernière étape correspond à la création
d'un ministère des PTT en 1929. Pour faciliter la compréhension historique, le terme unique
d' " administration des Postes, Télégraphes et Téléphones " est utilisé dans ce répertoire
numérique. Cette dénomination matérialise la réunion des trois activités à partir de 1889 et
s'étendant jusqu'en 1949.
Le cadre chronologique du fonds
Selon le cadre de classement en vigueur des Archives départementales, la sous-série 6P
regroupe des archives postérieures à la Révolution, devant s'étendre de 1800 au 10 juillet
1940. Il faut toutefois stipuler que les dates extrêmes de ce répertoire numérique débordent
les bornes chronologiques réglementaires. Une dizaine de documents concernant le personnel
de la Poste aux chevaux datent en effet de 1793. Indissociables de l'ensemble du fonds, ces
pièces demeurent conservées dans la sous-série. " Quand un fonds mord une coupure
chronologique du cadre de classement, on ne scinde pas en deux les dossiers qui
chevaucheraient la date limite. La répartition des dossiers entre le différents cadres
(avant/après 1790), avant/après 1800, etc.) doit se faire avec souplesse et discernement
pour préserver l'intégrité des dossiers "( Christine NOUGARET et Bruno GALLAND, Les
instruments de recherche dans les archives, Paris, 1999, 259 p.) . De façon similaire, un
article regroupant quelques pièces postérieures à 1940 a été constitué. La faible quantité
de celles-ci ainsi que l'absence d'autres versements auxquels adjoindre ces documents,
justifie pleinement le maintien de ces archives au sein de la sous-série 6 P. Cela constitue
un article particulier (6 P 257) et explicité comme tel en fin de l'instrument de
recherche.
Conditions d'accès :
Produits par les services de la préfecture de Seine-et-Oise, les archives de la sous-série
6P sont qualifiées d'administratives. La loi du 17 juillet 1978 institue la liberté d'accès
à ce type de documents. De plus, selon l'article L 213-1 du Code du Patrimoine, les
documents librement communicables avant dépôt, continuent d'être communiqués sans
restriction. Des interrogations subsistent toutefois au sujet d'un ensemble de documents ;
il s'agit des fiches de renseignements réalisées sur tout candidat à un poste au sein de
l'administration des Postes, Télégraphes et Téléphones. Différentes des dossiers de
personnel, ces archives sont quant à elles soumises à un délai de communication de 60 ans.
En effet, ces formulaires fournissent des informations susceptibles de mettre en cause la
vie privée d'individus. Des appréciations et des jugements de valeur sont ainsi développés
sur les opinions politiques, les antécédents familiaux ou la conduite morale et physique du
candidat. Le délai de 60 ans ayant été dépassé, toutes les archives composant la sous-série
6P " Postes et Télécommunications " sont donc librement communicables sans délai, à toute
personne en effectuant la demande.
La reproduction de ces archives est également libre, à condition que leur conservation
matérielle le permette. Chaque lecteur doit pour cela se reporter et se conformer aux
conditions en vigueur, édictées sous la forme du règlement de salle de lecture.
Description physique :
Description physique: Document
d'archives
Nombre d'unités de niveau bas
Nombre d'unités de niveau bas: 245
Ressources complémentaires :
Références bibliographiques :
Il faut noter l'existence d'un instrument de recherche imprimé des Archives départementales
du Cantal, précurseur pour le traitement de la sous-série 6 P.
Répertoire de la sous-série 6 P Postes et télécommunications (1800-1940), Archives
départementales du Cantal, Aurillac, 1987, 166 p.
Pour une bibliographie complète sur les Postes et Télégraphes, les guides de recherche déjà
présentés (cf. sources complémentaires) sont des outils riches et bien structurés. Ils
couvrent la période concernée par la sous-série 6P (1800-1940) et l'ensemble des parutions
(ouvrages, périodiques, travaux universitaires) à l'échelle nationale comme locale.
Partie intégrante de l'abréviation PTT, le téléphone demeure quand à lui un aspect
relativement méconnu. Une bibliographie sommaire doit fournir les références de base pour
effectuer un travail historique.
Ouvrages généraux
AULAS (Pierre), Les origines du téléphone en France (1876-1914), Paris, 1999, 300 p.
BERTHO (Catherine)Télégraphes et téléphones : de Valmy au microprocesseur, Paris, 1981, 538
p.
Histoire des Télécommunications, Toulouse, 1984, 267 p.
BRAULT (Julien), Le téléphone en 1888. Histoire de la téléphonie et exploitation des
téléphones en France et à l'étranger, Paris, 1888, 288 p.
CARMAGNAT (Fanny), Le téléphone public : cent ans d'usages et de techniques, Paris, 2003,
310 p.
CARRE (Patrice-Alexandre) Le téléphone : un monde à portée de voix, Paris, 1993, 128 p.
Téléphones d'un temps perdu, Paris, 1995, 169 p.
CORNET (Charles), Le téléphone automatique, Paris, 1922, 30 p.
DELFIEU Emile, Le monopole télégraphique et téléphonique, Nîmes, 1918, 142 p.
ECOLE PRATIQUE DES HAUTES ETUDES (PARIS), L'Etat et les télécommunications en France et à
l'étranger : 1837-1987, Genève, 1991, 360 p.
FEDERATION NATIONALE DES ASSOCIATIONS DE PERSONNEL DES POSTES ET TELECOMMUNICATIONS POUR LA
RECHERCHE HISTORIQUE, " Histoire de la poste et des télécommunications ", actes du 7e
colloque international organisé par la FNARH, Brûlon-Le-Mans, 28 février-2 mars 1991,
Brûlon-Le-Mans, 1991, 3 volumes.
Volume 1 : Le télégraphe aérien, 513 p.
Volume 2 : Le téléphone de 1850 à 1914, 135 p.
Volume 3 : La poste de 1850 à 1914, 199 p.
FRANCE TELECOM CENTRE NATIONAL D'ETUDES DES TELECOMMUNICATIONS, Télécommunications, les
premiers pas, Issy-les-Moulineaux, 1994, 192 p.
HOUZE (Roger Charles), Le téléphone : radiocommunication, télématique, Montrouge, 1998, 300
p.
LECOUTURIER (Yves), Le Patrimoine des télécommunications françaises, Paris, 2002, 565
p.
MELLOR (Alec), La fabuleuse aventure du téléphone, Paris, 1975, 223 p.
MILHAUD (Jean), La téléphonie automatique. Description et fonctionnement des systèmes,
Paris, 1925, 343 p.
MONTAGNE (Jean-Claude), Histoire des moyens de télécommunications de l'antiquité à la
seconde guerre mondiale, du sifflet à la télévision : les hommes, les idées, Bagneux, 1995,
471 p.
VIGNOLA (Robert), Allô ! La merveilleuse aventure du téléphone, Paris, 2000, 159 p.
WALLSTEIN (René), Le téléphone, Paris, 1996, 128 p.
Ouvrages techniques
DU MONCEL (Théodore), Le Téléphone, Paris, 1882, 391 p.
FIGUIER (Louis), Le téléphone : son histoire, sa description, ses usages, Paris, 1885, 301
p.
ILLAND (Gérard), Etude d'un abonnement téléphonique, Villeneuve d'Ascq, 1978.
MONTORIOL E., Les systèmes de télégraphie et de téléphonie : origines, évolution, été
actuel, Paris, 1923, 723 p.
SCHWARTZE (Théodor), Le téléphone, le microphone et le radiophone, Paris, 1885, 244 p.
Organisme responsable de l'accès intellectuel :
Organisme responsable de laccès intellectuel: Archives départementales des
Yvelines
Identifiant de l'inventaire d'archives :
FRAD078_002_307