Inventaire d'archives : 113 J - Fonds des familles Darcy, Vuitry et Hély d'Oissel

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Présentation du contenu
Documents tant personnels et familiaux que relatifs aux activités et engagements de plusieurs membres de la famille Darcy ainsi que de deux familles aliiées (Vuitry et Hély d'Oissel).
cf. Présentation du producteur

Cote :

113 J 1-106

Publication :

Archives départementales de la Côte-d'Or
2013
Dijon

Informations sur le producteur :

Origine:
Famille Darcy
Biographie ou histoire
Henry (Ier) Philibert Gaspard Darcy
Dijon 10 juin 1803 (21 prairial an XI) ; Paris 2 janvier 1858.
Fils de Joseph François Jacques Lazare d'Arcy (1774-1817) et d'Agathe Angélique Serdet (vers 1778- vers 1870), fille d'un procureur au Parlement de Dijon, épousée en 1802.
Famille anciennement bourguignonne, descendant de Pierre d'Arcy, capitaine au régiment de Picardie, vraisemblablement originaire du département de l'Yonne. À sa retraite, en 1673, Pierre d'Arcy s'installe à Épinac (Saône-et-Loire). Son descendant, Jacques Lazare Gaspard, père d'Henry (Ier), est originaire de Mirebeau-sur-Bèze, Très enthousiaste des idées nouvelles, il s'engage dans l'Armée en 1792. Il en reçoit son congé définitif en 1798 et entre alors dans l'administration en qualité de receveur de l'Enregistrement à Chanceaux, puis à Dijon.
Tant par sa famille paternelle que maternelle, Henry Darcy est bien implanté dans la région dijonnaise. Il y dispose de revenus fonciers importants, particulièrement sur les communes de Dijon, Ahuy, Fontaine-lès-Dijon et Mirebeau.
Marié le 29 décembre 1829, Dijon, à Henriette Carey (Saint-Pierre Port, île de Guernesey 1er juillet 1808-?), issue d'une famille récemment établie à Dijon.
Études
Une bourse municipale lui permet de suivre sa scolarité au Collège Royal de Dijon (aujourd'hui collège Marcelle-Pardé). Il intègre ensuite l'École Polytechnique en 1821, puis l'École nationale des Ponts-et-Chaussées en 1823.
Carrière
Il est successivement nommé ingénieur dans le département du Jura (résidence à Lons-le-Saunier) en 1826, puis ingénieur "ordinaire" dans le département de la Côte-d'Or (résidence à Dijon) en 1827. Il réalise deux grands ponts sur la Saône, travaille ensuite sur le projet d'adduction d'eau (dérivation et distribution de sources d'eau potable) à Dijon, en 1834. Il en commence la réalisation, contribuant grandement au développement de la ville.
En 1840, ingénieur en chef, toujours dans la Côte-d'Or, il est chargé du tracé de la ligne de chemin de fer dans le département. Ayant réussi à convaincre les ministères du bien-fondé du passage de la ligne Paris-Lyon-Marseille par Dijon, il choisit comme itinéraire la vallée de l'Armançon puis celle de l'Ouche. Il commence également le creusement du grand tunnel de Blaisy.
Le 18 mars 1848, il est mis en disponibilité pour raisons politiques, puis désigné comme ingénieur en chef du canal du Berry. Le 21 juin de cette même année, il est nommé ingénieur en chef, directeur des Ponts-et-Chaussées de Paris. Il s'occupe alors du pavage des rues dans les grandes villes. Envoyé à Londres en 1850 afin d'étudier les réalisations anglaises, il publie, à son retour, un Rapport à M. le ministre des travaux publics sur le pavage et la macadamisage des chaussées de Londres et de Paris.
Promu inspecteur divisionnaire le 30 avril 1850, il demande à être mis en retraite pour raisons de santé en 1855.
Il est également à l'origine de la loi expérimentale de Darcy ou loi Darcy sur la vitesse d'écoulement d'un liquide dans un milieu poreux. Celle-ci a donné une unité de mesure, le "Darcy", toujours utilisé quotidiennement, par les pétroliers, notamment.
Henry Darcy meurt à Paris le 2 janvier 1858. Trois jours plus tard, le maire de Dijon, Théodore Vernier prit un arrêté donnant son nom au carrefour de la Porte Guillaume. Entre 1879 et 1881, la municipalité ordonna l'aménagement du Jardin Darcy en hommage et reconnaissance à l'ingénieur.
Principales publications
Les Fontaines publiques de la ville de Dijon, 1856. Recherches expérimentales relatives au mouvements de l'eau dans les tuyaux, 1857.
Recherches hydrauliques, terminées et éditées par H. Bazin, 1865.
Hugues-Iéna Darcy
Arcis-sur-Aube (Aube) 29 octobre 1807 ; château de Gouville (Côte-d'Or, commune de Corcelles-les-Monts) 4 juin 1880.
Frère cadet et unique d'Henry (Ier) Darcy (1803-1858).
Marié le 7 juin 1836, Sens (Yonne), avec Eugénie Vuitry (Sens 7 septembre ou décembre 1815 ; Corcelles-les-Monts 23 décembre 1906).
En 1869, il fait l'acquisition du château de Gouville.
Haut fonctionnaire sous la Monarchie de Juillet puis la Deuxième République.
Chevalier, puis officier de la Légion d'honneur.
Carrière préfectorale
. 22 août/1er septembre 1830, conseiller de préfecture à Dijon.
. 23 mars/2 avril 1834, sous-préfet de l'Yonne, résidence de Sens.
. 7/18 février 1839, préfet du Tarn-et-Garonne.
. 18 octobre/15 novembre 1839-1843, préfet de l'Aube.
. 6 janvier/10 février 1843-1848, préfet du Gard, révoqué en février 1848.
. 10/23 janvier-juin 1849, préfet de la Moselle.
. 28 juin/14 juillet 1849, préfet du Rhône, remplacé le 2 décembre 1849.
Carrière politique
Du 17 novembre 1849 au 14 mars 1850, il occupe le poste de sous-secrétaire d'État au ministère de l'Intérieur. Il abandonne alors la politique pour les affaires.
Monde des affaires
Il siège, tout d'abord, comme administrateur aux côtés d'Henri Germain (futur gendre d'Adolphe Vuitry) dans diverses sociétés dont la Compagnie des forges de Châtillon-Commentry avant d'occuper la présidence de la Société Commentry-Fourchambault et de l'Entreprise du gaz de Marseille.
Famille alliée, Vuitry
Adolphe Vuitry
Sens (Yonne) 31 mars 1813 ; château de Saint-Donain (commune de Marolles-sur-Seine, Seine-et-Marne), 23 juin 1885.
Propriétaire du domaine de Saint-Donain.
En 1862, il est élu membre de l'Institut (Académie des sciences morales et politiques).
Marié en 1840, Colmar, avec Marie Caroline Jenny Bret (1820-1905), fille de Charles Wangel, baron Bret.
Beau-frère d'Hugues-Iéna Darcy (1807-1880), époux de sa sœur Eugénie Vuitry.
Beau-père d'Henri Germain (1824-1903), député et fondateur du Crédit Lyonnais, époux de sa fille aînée Blanche Vuitry (1841-1913) et de Paul-Frédéric Hély d'Oissel (1840-1898), auditeur au Conseil d'État, vice-président de la Compagnie de Saint-Gobain, époux de sa fille cadette Cécile Vuitry (1847-1868).
Études et début de carrière
Polytechnicien, il devient, en 1835, avocat à la Cour royale de Paris avant d'être reçu comme docteur en droit, en 1838.
Carrière administrative
Il entre dans l'administration en 1838, au ministère de la justice et des cultes. D'abord membre du cabinet du ministre de la justice et des cultes, il est nommé, en 1841, chef de la 1e section de la direction des cultes, puis sous-directeur en 1844.
Il en démissionne en 1846 pour intégrer la section du contentieux du Conseil d'État. Après la Révolution de 1848, il y poursuit sa carrière sous la protection d'Achille Fould. Maître des requêtes en 1849, il devient conseiller d'État en 1852 et président de la section des finances en 1857.
Le 15 mai 1863, il est nommé Gouverneur de la Banque de France.
Carrière politique
. 26 avril-26 octobre 1851, sous-secrétaire aux finances (ministère Léon Faucher).
. 1852-1870, conseiller général de l'Yonne (président du Conseil général à partir de 1865).
. 28 septembre 1864-17 juillet 1869, ministre présidant le Conseil d'État. Il en démissionne pour manifester son désaccord avec l'évolution libérale du régime. Tout au long de l'Empire, il a, cependant, défendu les projets du gouvernement devant le Sénat et le Corps législatif.
. 21 juillet 1869, il est nommé sénateur par décret.
Après 1870, il abandonne la vie publique pour se consacrer à la présidence de la Compagnie des chemins de fer du PLM (de Paris à Lyon et à la Méditerranée).
Monde des affaires et activité patronale
Du 25 août 1871 au 5 novembre 1878, il assume la présidence du conseil d'administration de la Compagnie des chemins de fer du PLM, est administrateur de la Compagnie d'assurances "La Nationale" et directeur de la Caisse d'épargne et de prévoyance.
Publications
Études sur le régime financier de la France avant la Révolution de 1789, 3 volumes, 1878-1883.
Le Désordre des finances et les excès de la spéculation à la fin du règne de Louis XIV et au commencement du règne de Louis XV, 1885.
Rapports et discours, 1887.
Henry (II) Hugues Darcy
Troyes (Aube) 21 octobre 1840 ; Sèvres (Hauts-de-Seine) 25 novembre 1926.
Fils unique d'Hugues-Iéna Darcy (1807-1880) et d'Eugénie Vuitry (1815-1906).
Marié le 6 juillet 1865, Paris, avec Adèle Élisabeth Hély d'Oissel (Paris 28 mars 1843 ; Sèvres 13 décembre 1925).
Propriétaire du château de Brimborion à Sèvres et du château de Gouville, acquis par son père.
Officier, puis commandeur de la Légion d'honneur (1922).
Études à la faculté de droit de Paris.
Carrière administrative
. 1863-1869, en fonction au Conseil d'État, en qualité d'auditeur, puis de chef de cabinet de son oncle, Adolphe Vuitry (le ministre présidant), enfin de maître des requêtes. Il sert l'Empire libéral jusqu'à sa chute, le 4 septembre 1870. Le Conseil d'État est alors suspendu.
. 26 mai 1873, préfet des Vosges.
. 7 juin 1874, préfet du Pas-de-Calais.
. 21 mars 1876, préfet des Alpes-Maritimes.
Il est révoqué au moment de la crise du 16 mai 1877. L'orientation nouvelle de la politique le décide à quitter à nouveau et définitivement l'administration.
Carrière politique
. 1870-1873, conseiller général de la Côte-d'Or (canton de Mirebeau-sur-Bèze).
. 1889, échec à la députation.
Monde des affaires et activité patronale
De 1877 à 1926, date de son décès, il consacre toute son activité au développement de l'industrie minière, participant aussi à l'impulsion de l'ensemble de l'industrie nationale.
. Administrateur des Mines de Dourges (fondées en 1872). En 1880, à la mort de son père, il le remplace au conseil d'administration.
. Administrateur délégué de la Compagnie des Forges de Châtillon-Commentry (fondée en 1862), il en devient président à partir de 1887. Il en assure le développement et la prospérité sans cesse croissants, absorbant, en 1897, la Société métallurgique de la Haute-Moselle (usines de Champigneulles et Neuves-Maisons). L'entreprise prend alors le nom de Compagnie des Forges de Châtillon, Commentry et Neuves-Maisons.
. Il hérite des intérêts familiaux dans les Mines de Blanzy et en devient président, en 1900.
. Vers 1884-1886, il fonde le Comité central des Houillères de France, à la fois organisme syndical et organe régulateur dans lequel il fait d'abord entrer des sociétés qu'il contrôle, telles Anzin et Dourges. Il en assume la présidence de 1886 à 1925, se consacrant alors à l'étude de toutes les questions corporatives. Il étudie notamment l'accroissement de la production des charbonnages au travers de l'amélioration du sort des ouvriers et du perfectionnement de l'outillage.
. En 1910, à la demande du gouvernement, il fonde l'Union des mines marocaines destinée à servir la défense des intérêts français.
. En 1919, il est désigné par le ministre du commerce pour assumer la présidence de la Confédération générale de la production française, organisation nationale nouvellement créée en vue de la fédération des diverses corporations patronales,
. En 1921, il participe à la formation de la Compagnie de houillères lyonnaises.
Parallèlement, il est administrateur de la Banque de l'Union parisienne et du Crédit national, membre du Comité des forges et de plusieurs autres conseils (Société Industrie et Force, Société du gaz et de l'électricité de Marseille, Société générale de construction de locomotives de Batignolles-Châtillon, Société métallurgique des Terres-Rouges, Compagnie des chemins de fer du PLM).
Pendant de nombreuses années, il représente l'industrie minière au Conseil supérieur du travail. À ce titre, il contribue personnellement à l'élaboration de la loi de 1898 sur les accidents du travail.
Publications
Discours et nécrologies, s. d. La loi sur les caisses de retraite des ouvriers mineurs, 1895. La loi des accidents du travail devant le Sénat, 1898. État actuel sur la question des accidents du travail en France, 1898.
Deux écrits biographiques : Hugues-Iéna Darcy, 1806-1874 et Enfances, 1925.
Famille alliée, Hély d'Oissel
Famille originaire d'Irlande, elle s'établit en France, à partir de 1688, lorsque Pierre Hély y vient à la suite de Jacques II Stuart. Progressivement, elle s'y installe définitivement, faisant l'acquisition de la terre d'Oissel, en 1738, puis de celle de Saint-Saëns, en 1739, toutes deux situées sur l'actuel territoire départemental de la Seine-Maritime.
Abdon Patrocle Frédéric Hély d'Oissel
Rouen 2 avril 1777 ; Paris 29 janvier 1833.
Grand-père paternel d'Adèle Élisabeth Hély d'Oissel (1843-1925), épouse d'Henry (II) Darcy (1840-1926)
Entré au Conseil d'État en 1803 en qualité d'auditeur, il y poursuit toute sa carrière, devenant maître des requêtes en 1805 et conseiller d'État en 1818.
En parallèle, il mène une carrière administrative et politique. Secrétaire général de la préfecture de la Seine en 1804, il est nommé préfet du Maine-et-Loire en 1809, fonction dont il est révoqué en 1814.
Élu député de Seine-Maritime en 1827, puis réélu en 1830 et 1831, il affirme son soutien politique à la Monarchie de Juillet qui le confirme dans son poste de conseiller d'État.
Également président du Conseil des bâtiments civils et associé libre de l'Académie de médecine.
Il assume la vice-présidence de la Compagnie de Saint-Gobain de 1830 à 1833.
Madame Hély d'Oissel
Il n'a pas été possible d'identifier plus précisément ce personnage (cote 113 J 91).
Jean Hugues Henri Darcy
Versailles (Yvelines) 7 août 1868 ; Paris 17 avril 1906.
Deuxième enfant et premier fils d'Henry (II) Darcy (1840-1926) et d'Adèle Élisabeth Hély d'Oissel (1843-1925).
Marié le 20 juin 1892, Paris, avec Madeleine Franquet de Franqueville (Paris 22 décembre 1871 ; Paris 20 avril 1957), propriétaire du château de Bourbilly (Côte-d'Or, commune de Vic-de-Chassenay).
Études
Élève brillant au lycée Condorcet, lauréat du Concours général, il passe le concours de l'Inspection des finances, mais en démissionne rapidement.
Écrivain et historien
Il s'intéresse à l'histoire coloniale, collabore à La Revue des Deux mondes, à La Revue politique et parlementaire et au Correspondant.
Dans le cadre de l'Institut et sur la désignation de l'École libre des sciences politiques, il est chargé par le duc de Broglie de la préparation des Mémoires de Talleyrand et de la rédaction de notes et notices explicatives.
Membre des Comités de l'Asie française, de la Société philanthropique, de la Société anti-esclavagiste, de l'Office central de charité et de l'Œuvre des tuberculeux dont il assure le Secrétariat général.
Publications
L'Ambassade de M. de Talleyrand à Londres, 1891.
L'Équilibre africain au XXe siècle. La conquête de l'Afrique, 1900.
France et Angleterre, cent ans de rivalité coloniale : l'Afrique, 1904.
Pierre Julien Darcy
Paris 3 avril 1870 ; Moscou, prison Boutyrki 23 décembre 1918.
Deuxième fils d'Henry (II) Darcy (1840-1926) et d'Adèle Élisabeth Hély d'Oissel (1843-1925).
Hommes d'affaires, il est envoyé en Russie par la Compagnie des forges de Châtillon-Commentry de Montluçon pour une mission technique d'implantation d'établissements métallurgiques dans le bassin de la Volga.
Il devient Président de la Chambre de commerce française de Saint-Pétersbourg, de la Colonie française de Petrograd, de la Société de bienfaisance française de Petrograd et de l'Alliance française pour la propagation de la langue.
À la fin de la Première Guerre mondiale, il est mandaté par les Alliés, après la rupture des relations diplomatiques avec le Gouvernement révolutionnaire, pour agir au mieux de l'intérêt commun. Otage volontaire, jeté en prison à Moscou, il y périt de mauvais traitements et de privations.
Valentine Darcy
Paris 13 décembre 1872 ; Paris 14 mai 1958.
Fille d'Henry (II) Darcy (1840-1926) et d'Adèle Élisabeth Hély d'Oissel (1843-1925).
Mariée le 20 août 1907, Sèvres, avec Christian Legouz de Saint-Seine (1869- ?). Cette union reste sans postérité.
Paul Darcy
Paris 16 décembre 1879 ; Boulogne-Billancourt 7 mai 1970.
Fils d'Henry (II) Darcy (1840-1926) et d'Adèle Élisabeth Hély d'Oissel (1843-1925).
Marié le 20 avril 1920, Montmorency, avec Marguerite de Lambertie du Cros (1877-1961). Cette union reste sans postérité.
Auteur d'un ouvrage consacré à son grand-oncle Henry Darcy, ingénieur général des Ponts-et-Chaussées, 1803-1858, Dijon, Imprimerie Darantière, 1957.

Informations sur l'acquisition :

Informations sur les modalités d'entrée
Dépôt. 21 décembre 2010.
Historique de conservation :
Historique de la conservation
Documents recueillis par M. François Darcy (arrière-arrière-petit-fils de Henry Darcy, 1840-1926), déposant.

Description :

Mise en forme :
Mode de classement
Par personnage selon l'ordre généalogique.

Conditions d'accès :

Statut juridiqueArchives privées
Communicabilité
Communication selon les règles et délais applicables aux archives publiques.

Description physique :

Description physique: Document d'archives

Nombre d'éléments
Nombre d'éléments: 106 articles (10 boîtes).
Métrage linéaire
Métrage linéaire: 1,70

Références bibliographiques :

Bibliographie
- Un après-midi autour d'Henry Darcy, 1803-1858 : actes de l'après-midi d'études du 24 novembre 2003, coordonné par Michel Pauty / textes réunis par Martine Chauney-Bouillot et Michel Pauty ; coordination Brice Grivot-Boone. – Dijon : [s.n.], 2005. – 64 p. : ill., couv. ill. en coul. ; 25 cm. Extrait de "Mémoires de l'Académie des sciences, arts et belles-lettres de Dijon", t. 140 bis (2003).
- Pierre Darcy, Henry Darcy, Gérard Darcy / Darcy. – .- 1926.
- Henri Darcy, 1803-1858 / Paul Darcy. – .- 1957.
- In memoriam, famille Darcy [Texte imprimé]. – [S.l.] : [s.n.], 18.., 18-18.. – 1 vol. (132 p.) : ill.

Organisme responsable de l'accès intellectuel :

Archives départementales de la Côte-d'Or

Identifiant de l'inventaire d'archives :

FRAD021_000002008

Nom de famille :

Famille Darcy

Type de document :

Document d'archives

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