Inventaire d'archives : Delisle, Joseph-Nicolas - Archives

Contenu :

L'inventaire ci-dessous présente le contenu des archives de Joseph-Nicolas Delisle dans leur intégralité, extraites et isolées pour la première fois du fonds général de la bibliothèque de l'Observatoire de Paris. S'il reprend certains éléments et certaines descriptions de l'inventaire général réalisé en 1895 par Guillaume Bigourdan, chaque manuscrit a été replacé dans un contexte, suivant un plan de classement destiné à en faciliter la recherche et l'accès.
Trois grands ensembles se détachent de ce vaste fonds:
- D'une part, la correspondance de Delisle, dont le classement, conçu par Delisle lui-même à la demande de Louis XV, a été conservé. Cette riche correspondance, entretenue avec de nombreux astronomes de son temps et bien au-delà des frontières de l'Europe, a fait l'objet d'une numérisation et est librement accessible en ligne.
- D'autre part, les manuscrits de Delisle, ses propres journaux, notes, brouillons, observations et travaux scientifiques.
- Enfin, les papiers d'autres astronomes, originaux ou copies, collectés par Delisle et présentant leurs recherches, hypothèses et résultats.
Cette dernière partie, tout comme la précédente et comme aussi les nombreux index qu'il a élaborés pour pouvoir retrouver dans ces documents les sujets qui lui tenaient à coeur, montre l'ampleur de l'ouvrage qu'il avait projeté d'écrire, mais qui ne vit jamais le jour: un Traité complet d'astronomie exposée historiquement et démontrée par les observations. Les archives de Delisle, ces 16 mètres linéaires de manuscrits inédits qu'il nous a laissés, tiennent lieu "d'opus magnum"; ils constituent l'impressionnant matériau qu'il avait réuni pour cela. Pour brut qu'il soit, ce matériau n'en forme pas moins un rigoureux "état des lieux" des connaissances astronomiques dans la seconde moitié du XVIIIème siècle.

Publication :

Agence bibliographique de l’Enseignement supérieur
2017

Informations sur le producteur :

Joseph-Nicolas Delisle
Joseph-Nicolas Delisle est né à Paris le 4 avril 1688, de Claude Delisle (1644-1720) et de Nicole-Charlotte Millet de la Croyère (épousée en secondes noces). A l'instar de ses frères, il a été instruit dans ses premières années par son père. Il entre par la suite au Collège Mazarin et en sort en 1706 après avoir achevé sa rhétorique. Il poursuit des études de mathématiques. Un évènement majeur va être décisif dans sa vie : l'éclipse de Soleil de 1706, ce que confirme Jean-Baptiste Delambre dans Histoire de l'Astronomie au dix-huitième siècle.
Son premier maître est Jacques Lieutaud, astronome à l'Académie des Sciences, chargé de La Connaissance des Temps. Il fréquente également l'Observatoire de Paris et y côtoie Jean-Dominique Cassini (1625-1712, dit Cassini I) dont il devient l'assistant. Il obtient la permission d'habiter le dôme au-dessus de l'entrée du Palais du Luxembourg en 1710, ce qui lui permet d'être plus proche de Cassini I, devenu aveugle. En 1712, Joseph-Nicolas Delisle installe un observatoire dans son logement avant de le déménager à l'hôtel de Taranne.
Delisle entre en tant qu'élève astronome (premier grade dans le titre d'académicien) à l'Académie des Sciences le 20 mars 1714 et son professeur référent est Jacques Philippe Maraldi (1665-1729, dit Maraldi I). Il devient adjoint astronome le 3 janvier 1716 (premier titulaire) puis associé astronome le 4 décembre 1719, en remplacement de Jacques d'Allonville de Louville devenu pensionnaire.
Parallèlement à ses activités à l'Académie des Sciences, Joseph-Nicolas Delisle succède en 1718 à Philippe de La Hire, pour la chaire de professeur de mathématiques au Collège de France. Parmi ses élèves figurent Jérôme de La Lande, Louis Godin, Jean-Paul Grandjean de Fouchy et Charles Messier. Il est également membre, entre autres, de la Royal Society de Londres, de l'Académie royale des sciences de Berlin, ainsi que de l'Académie des arts et belles-lettres de Rouen.
En 1721, le tsar de Russie Pierre Ier (1672-1725) l'invite à venir réaliser des observations astronomiques et géographiques. Ce n'est que quatre ans plus tard, en 1725, que Joseph-Nicolas Delisle entreprend le voyage, l'année de la mort du tsar. En effet, sa femme, qui lui succède, la tsarine Catherine Iere de Russie (1684-1727), confirme l'invitation afin de créer une école d'astronomie à l'Académie des Sciences de Russie. Un contrat est signé le 25 juin 1725 et les conditions du voyage sont désormais fixées : le séjour de Delisle en Russie doit durer quatre ans.
Il quitte Paris au cours du mois de novembre 1725 avec sa femme Madeleine Ledanois et son frère Louis Delisle de la Croyère. Lors de son voyage, Joseph-Nicolas Delisle traverse l'Allemagne et noue des relations personnelles avec beaucoup d'astronomes du pays. C'est ainsi qu'il acquiert des manuscrits riches en observations astronomiques, parmi lesquels la correspondance et les observations de Jan Hevelius. La famille Delisle arrive à Saint-Pétersbourg le 5 mars 1726.
Devenu membre de l'Académie des Sciences de Saint-Pétersbourg, Joseph-Nicolas Delisle obtient la charge de premier professeur en astronomie. Il dirige également l'Observatoire de Saint-Pétersbourg dont le bâtiment vient d'être récemment achevé. Il s'installe avec sa famille dans la maison de l'Observatoire le 18 octobre 1726. Il poursuit sa correspondance et continue d'enrichir sa bibliothèque.
Un des principaux projets des deux frères Delisle est d'établir une carte générale de l'empire de Russie. Les premiers rapports pour lancer cette vaste entreprise sont reçus par l'Académie des Sciences de Russie en 1728 et l'ouvrage est lancé peu après. La réalisation de la carte de Russie, dont Joseph-Nicolas Delisle n'avait pas mesuré toute l'ampleur, prenant du retard, l'astronome demande à ce que son contrat soit prolongé. Louis Delisle de la Croyère va passer sept ans à cartographier la Sibérie, où Joseph-Nicolas se rend en 1740. Ce dernier a également recours à d'autres géodésistes pour répertorier le reste de l'empire, à l'instar du danois Vitus Béring.
En 1740, cependant, l'Académie des Sciences de Russie retire à Joseph-Nicolas Delisle la direction effective de l'ouvrage, bien que l'astronome soit très avancé dans l'élaboration de la carte générale et des dix-neuf particulières prévues pour la compléter. Les raisons évoquées pour cette décision sont non seulement le retard pris par le projet mais aussi les soupçons d'espionnage : Joseph-Nicolas Delisle aurait transmis des cartes du territoire russe en France. C'est pour ces mêmes raisons qu'il rencontre des difficultés pour rentrer en France. Delisle ne quitte finalement la Russie avec sa femme Madeleine - son frère Louis est mort le 10 octobre 1741 au Kamtchatka - que le 29 mai 1747.
Etant donné son absence des bancs de l'Académie des Sciences de Paris depuis seize ans, cette dernière avait décidé que Joseph-Nicolas Delisle passerait au grade d'associé vétéran le 28 janvier 1741. Rentré en France le 15 septembre 1747, il poursuit son immense correspondance commencée en 1709. Il investit ses économies dans la fondation d'un observatoire à l'hôtel de Cluny qui deviendra célèbre grâce à son élève Charles Messier (1730-1817).
Afin de s'assurer un train de vie convenable, Joseph-Nicolas Delisle échange toutes ses collections astronomiques et géographiques contre une rente viagère de l'Etat d'une valeur de 8 000 livres. Il reçoit le 20 janvier 1754, par le ministre de la Marine Antoine Rouillé, un brevet par lequel Louis XV l'établit comme astronome-géographe de la Marine.
En 1758, à 70 ans, Joseph-Nicolas Delisle renonce aux observations astronomiques. Il réduit également son train de vie. L'Académie des Sciences de Paris le nomme pensionnaire vétéran le 6 février 1761. Veuf en 1763, il se retire à l'abbaye Sainte Geneviève. Abusé par des intrigants qui le dépouillent, il termine sa vie dans une grande pauvreté. En juillet 1768, il est atteint du scorbut et s'éteint quelques semaines plus tard, le 11 septembre 1768. C'est Charles Messier et son petit neveu Jean-Nicolas Buache (dit Buache de la Neuville, neveu de Philippe Buache) qui organisent et payent ses funérailles. Les restes de Joseph-Nicolas Delisle auraient été déposés dans l'église de Saint Nicolas du Chardonnet. Jean-Nicolas Buache récupère les archives de la famille Delisle.

Informations sur l'acquisition :

Transféré du Dépôt des cartes et plans du ministère de la Marine à l'Observatoire de Paris en 1795.
Historique de conservation :
Les collections astronomiques et géographiques de Joseph-Nicolas Delisle (archives, livres imprimés et cartes) sont entrées au Dépôt des cartes et plans du ministère de la Marine (futur Dépôt de la Marine) en 1754-1755. Delisle en fait don en échange d'une rente viagère et du titre d'astronome-géographe de la Marine. Elles seront estampillées et conservées dans ce Dépôt durant près de quarante ans. En 1795, le Comité de Salut Public décide que la partie géographique de ces collections restera au Dépôt de la Marine, tandis que la partie astronomique sera remise au Bureau des Longitudes, institution nouvellement fondée qui exerce alors une tutelle sur l'Observatoire de Paris. La loi du 7 messidor, an troisième, par laquelle est créé ce Bureau, stipule que: "Il sera pris dans les dépôts de livres appartenant à la Nation, et dans les doubles de la Bibliothèque nationale, les livres nécessaires pour compléter la Bibliothèque astronomique commencée à l'Observatoire" (article XVI).
Peu de temps après, les collections sont donc transférées dans les locaux de l'Observatoire de Paris, où elles sont conservées depuis, à l'exception des pièces volées par Guglielmo Libri, qui sévit à la bibliothèque entre 1835 et 1837. Les vols qu'il pratique alors concernent surtout le fonds Delisle.Après ce vol, Ludovic Lalanne établit le premier inventaire completdes manuscrits de la Bibliothèque de l'Observatoire de Paris en 1850-1851 (cote D5/41 dans l'Inventaire général de Bigourdan), qui contient une partie sur le fonds Delisle (p. 195-238). Il estime dans le Dictionnaire de pièces autographes volées aux bibliothèques publiques de la France (p. 108-110 et 161-168) qu'environ 250 pièces manuscrites auraient été volées par Guglielmo Libri dans le fonds Delisle, sans compter les vols opérés dans la correspondance de Hevelius, au moins 570. 82 pièces ont été retrouvées et retournées à l'Observatoire à la suite de l'enquête judiciaire en 1875, deux lettres furent récupérées en 1920, et deux autres dans les années 2000.

Description :

Mise en forme :
Lors de sa gratification par Louis XV, en 1754, du titre d'astronome-géographe de la Marine, et du don de ses collections au Dépôt de la Marine, Delisle commença, à la demande du roi, à les inventorier avec l'aide del'abbé de La Caille, de Lalande, et de Pingré.Ce travail l'occupa de nombreuses années et il restait toujours, en 1761, la majeure partie des archives astronomiques à traiter, comme le laisse entendre Delisle dans un mémoire destiné au roi, daté d'octobre de cette année-là (cote A7/9, dossier 7, pièce n° 17).L'inventaire originel des archives comprenait 165 numéros, correspondant aux anciennes "cotes Delisle" 1 à 165. Lors de la division des archives, en 1795, les manuscrits concernant la géographie sont restés au Dépôt de la Marine, tandis que ceux d'astronomie ont été confiés au Bureau des Longitudes, puis à l'Observatoire de Paris qui en dépendait. Les cotes Delisle 1, 13-14, 43, 66-69, 95-96, 106, 122-123, 131-135, 141-143, 145, et 163-165 manquent aujourd'hui à l'Observatoire de Paris.
Lors de la révision du fonds en vue du présent inventaire, des documents qui, à l'inverse, ne portaient pas - ou plus - de cote Delisle, y ont été intégrés car nous savons, par les écrits mêmes de Delisle, qu'ils en font partie: c'est le cas par exemple de la correspondance et des observations de Hevelius (C1/1-16, C2/1-6), de la copie de Kepler (B4/6), et de celle de Morin de Villefranche (B3/14). D'autres s'y rattachent de toute évidence, comme les catalogues et inventaires eux-mêmes (A7/9, B5/14-16).
Les cotes modernes (du type A1/1, A1/2 etc.), qui sont visibles sur les boites contenant les portefeuilles et au dos des volumes, ont été attribuées aux manuscrits à la fin du XIXème siècle et permettent encore aujourd'hui de localiser chaque document. Dans le présent inventaire, l'ancienne cote est indiquée, tout comme la nouvelle, ce qui rend possible une reconstitution de l'ordre originel mis en place par Delisle.
Le classement choisi par Delisle était principalement thématique. Ses indications de contenu, sur les étiquettes des portefeuilles ou à l'intérieur, tout comme l'ordre qu'il leur a donné, ont été ici respectés dans la mesure du possible. Cependant, si l'ordre physique des dossiers à l'intérieur de chaque portefeuille n'a pas été touché, il a dans certains cas été nécessaire de modifier l'agencement, entre eux, des portefeuilles et des volumes, pour satisfaire à l'exigence intellectuelle d'un cadre de classement moderne et surtout, pour l'utilisateur, afin d'optimiser le résultat des recherches dans cet immense ensemble de documents.

Description physique :

Information matérielles :
Les documents sont rédigés sur du papier, sauf mention contraire.
Les documents peuvent avoir jusqu'à trois estampilles: celle du Dépôt des cartes et plans du Ministère de la Marine (ancre à l'encre verte), l'estampille "Observatoire Impérial", et enfin l'estampille "Observatoire de Paris".
Importance matérielle :
178 portefeuilles et volumes. 16 mètres linéaires.

Ressources complémentaires :

Des documents concernant Delisle se trouvent aussi dans le Fonds du Bureau des Longitudes de la bibliothèque de l'Observatoire de Paris, et dans d'autres bibliothèques telles que la Bibliothèque nationale de France (département des manuscrits et département des cartes et plans) et la Bibliothèque universitaire d'Uppsala, en Suède (cotes: Waller Ms fr-02584 et Waller Ms fr-02585).
Il est intéressant de noter, dans ce contexte, qu'une "vente Delisle" semble avoir eu lieu à la mort de l'astronome en 1768, comme le mentionne Messier dans le manuscrit B5/15.
Les documents restés au Dépôt de la Marine lors de la division du fonds en 1795 se retrouvent partiellement:
- aux Archives nationales de France (cotes Marine 2JJ/50 à 2JJ/91 - ces cotes rassemblent aussi des papiers de Guillaume et de Louis Delisle - la partie géographique de la correspondancede Delisle se trouve sous les cotes 2JJ/60 à 2JJ/69).
- au Service historique de la Défense, au château de Vincennes (bibliothèque centrale).
- à la Bibliothèque de l'Assemblée nationale (Ms 1507-1509 et Ms 1538).
Une partie des documents volés par Libri a été retrouvée et est conservée à la Bibliothèque nationale de France (cotes NAF 6197, NAF 5856, NAL 1639 à NAL 1642, et NAL 1554).

Références bibliographiques :

Sur Joseph-Nicolas Delisle:
DELAMBRE, Jean-Baptiste. "Delisle". Histoire del'Astronomie au dix-huitième siècle. Paris : Bachelier, 1827,p.318-327.
GRANDJEAN DE FOUCHY, Jean-Paul. "Eloge de M. De L'Isle". Histoire de l'Académie royale des Sciences pour1768. Paris : Imprimerie Royale, 1770, p.167-183.
ISNARD, Albert. Joseph-Nicolas Delisle, sa biographieet sa collection de cartes géographiques à la Bibliothèque nationale. Paris : Imprimerie Nationale, 1915, 136 p.
LA LANDE, Jérôme de. "Eloge de Mr de L'Isle". Lenécrologe des hommes célèbres de France par une société de gens delettres. Maastricht : J.E. Dufour imprimeur et libraire, 1770, III,p. 1-79.
NEVSKAJA, Nina I. "Joseph-Nicolas Delisle (1688-1768)". Revue d'histoire des sciences. Vol. 26, No. 4 (OCTOBRE 1973), pp. 289-313.
Sur ses manuscrits
STRUVE, Othon. "Sur les manuscrits de Joseph De L'Isle conservés à l'Observatoire de Paris. Rapport de M. Othon Struve (lu le 13 septembre 1844)" / "Rapport fait à l'Académie impériale des sciences par W. Struve, sur une mission dont il fut chargé en 1847". Recueil des actes des séances publiques de l'Académie impériale des sciences de Saint-Pétersbourg tenues le 28 décembre 1847 et le 29 décembre 1848. Saint-Pétersbourg, 1849 (cote Observatoire: 1707).
Sur le séjour des frères Delisle en Russie
CHABIN, Marie-Anne. Les Français et la Russie dans lapremière moitié du XVIIIe siècle : la famille Delisle et les milieuxsavants. Thèse pour le diplôme d'archiviste-paléographe. Paris :Ecole nationale des Chartes, 1983. 345 p.
DEBARBAT, Suzanne ; DUMONT, Simone. "Joseph-Nicolas Delisle en Russie : messager de l'astronomie française et / ou espion?". Guillerme, André, dir., De la diffusion des sciences à l'espionnage industriel, XVè-XXè siècles. Hommage à John Harris. Actes du colloque de Lyon, 30-31 mai 1996, Paris : Société française d'histoire des sciences et des techniques (Cahiers d'histoire et de philososphie des sciences, n° 47), 1999.
KLEIN, Olivier. Un voyage scientifique au XVIIIe siècle: le voyage dans le nord de la Russie de Louis Delisle de la Croyère(1727-1730). Mémoire de maîtrise. Paris : Université Paris 7 Diderot,2001. 158 p.
POUSSOU, Jean-Pierre ; MEZIN, Anne ; PERRET-GENTIL, Yves. L'influence française en Russie au XVIIIe siècle.Colloque des 14 et 15 mars 2003 : résumé des interventions. Paris : UniversitéParis-Sorbonne, 2003. 131, 20 p.
Sur la famille Delisle
DAWSON, Nelson-Martin. L'Atelier Delisle : l'Amériquedu Nord sur la table à dessin. Québec : Septentrion, 2000. 305p.
DOUBLET, E. Une famille d'astronome et degéographes. Bordeaux : Imprimerie J. Clédès, 1934. 42 p.
Sources manuscrites
Il est intéressant aussi de consulter le manuscrit de l'Inventaire général et sommaire des manuscrits de l'Observatoire de Paris, de Guillaume Bigourdan, qui par endroits comporte des détails qui n'ont pu être intégrés dans la version imprimée de 1895. Cote: MS 1029.

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Identifiant de l'inventaire d'archives :

FR-920489801-MANU00009

Où consulter le document :

Observatoire de Paris - Bibliothèque et Archives

Liens