Inventaire d'archives : Archives communales déposées de Cessenon (1279-1981)

Contenu :

Le fonds déposé est riche de pièces permettant de retracer la vie de Cessenon depuis le XIIIème siècle. Pour la période ancienne, il comprend des registres de délibérations consulaires depuis 1541 (quelques années lacunaires), plusieurs compoix depuis le XVIIème siècle, ainsi que les actes paroissiaux depuis 1623. A noter, sous la cote 74 EDT 1, les actes fondateurs de la ville depuis le XVème siècle : reconnaissances, privilèges, usages et libertés, dont le droit de marquer le cuir et le fer et de fabriquer de l'amidon. Et sous la cote 74 EDT 55, des pièces relatives aux archives de la communauté au XVIIIème siècle.
Les archives modernes, postérieures à 1789, couvrent l'ensemble des domaines d'intervention de la commune. Le fonds comprend notamment les délibérations communales jusqu'en 1814. Un inventaire d'archives datant de 1793 est conservé sous la cote 74 EDT 72. L'état civil est conservé en commune.

Cote :

74 EDT 1-252

Publication :

Archives départementales de l'Hérault
2015-2023
Montpellier

Informations sur le producteur :

Communauté de Cessenon, paroisse Saint-Pierre-de-la-Salle, commune de Cessenon-sur-Orb.
Communauté de Cessenon, paroisse Saint-Pierre-de-la-Salle, commune de Cessenon-sur-Orb.
Cessenon-sur-Orb est une commune de l'Hérault située au nord-ouest de Béziers. Adossée à une colline, elle est traversée par la rivière Orb qui coule le long de ses remparts. Plusieurs ruisseaux se jetant dans l'Orb ont leur origine sur le territoire de Cessenon. Des fouilles archéologiques ont mis à jour les vestiges d'une occupation datant de 5000 ans à 2500 ans avant notre ère (deux domens, tumulus), puis wisigothique et Sarrasin avec, notamment, la découverte de sépultures musulmanes, puis gallo-romaine. L'église Saint-Pierre, classée au titre des Monuments historiques en 1987, est probablement construite sur les vestiges d'un mausolée gallo-romain datant du Ier ou IIe siècle de notre ère. Un fragment du bas-relief d'un sarcophage datant du Ier siècle avant notre ère et représentant un banquet funéraire a été retrouvé dans le dallage de l'église. L'occupation humaine est toutefois probablement bien plus ancienne encore.
 
Les premières mentions archivistiques de Cessenon remontent au Xe siècle. La référence à un castrum ou castellum de Cenceno datant de 972-973, dans le testament de Garsinde, veuve du comte de Toulouse (citée dans l'Histoire générale du Languedoc rédigée par des moines bénédictins entre 1730 et 1745. Il est également fait mention de la Capella de Cencennone à la même époque : en 974, dans les archives de l'évêché d'Albi (cité par Eugène Thomas dans son Dictionnaire topographique de l'Hérault paru en 1865). L'église fortifiée de Saint-Pierre, de style gothique méridional, est construite en 1325 à l'emplacement de cette chapelle. Le castrum est par la suite mentionné de manière récurrente dans les archives. On trouve également les mentions De Cencenone et De Cencenono dans le cartulaire de Foix en 1130.
 
Le comté de Cessenon est l'un des fiefs seigneuriaux les plus importants du diocèse. Vers 972-973, Garsinde, veuve de Rayymond III Pons comte de Toulouse, lègue le comté de Cessenon et son château à l'évêché de Saint-Pons. En 1118, Cessenon revient à Roger Trencavel, puis tombe dans l'escarcelle de Raimond Trencavel en 1129. La communauté prête serment à Cécilia, vicomtesse de Trencavel, dans les années 1630.  Au début du XIIIe siècle, Cessenon est prise par Simon de Montfort lors de la croisade contre les Albigeois, sa citadelle détruite et ses remparts démantelés. Puis Louis IX donne la segneurie à Hugues d'Arcis, sénéchal de Carcassonne. Dans les années 1260-1279, Peytabin de Vintrou, vicomte de Poujol, possède également un fief à Cessenon et la communauté se doit de lui payer la tasque. En 1387-1388, la communauté compte 200 foyers. Au XIVe siècle, les coseigneurs de Cessenon sont Raymond de Savignac, le sieur de Clermont et Pons de Thésan. Cessenon est brièvement rattachée à la baronnie de Montpellier pour la justice à la fin du XIVe siècle, avant de rentrer dans la viguerie de Béziers et de dépendre de la sénéchaussée de Carcassonne. Elle est rattachée au diocèse de Saint-Pons. Puis entre le XVe siècle et le XVIIIe siècle, PIerre et Raymond de Guers, le premier baron d'Olargues, et Pons de Thézan vicomte du Poujol, sont coseigneurs de la communauté.
 
Au XVe, la ville et châtellenie de Cessenon est une seigneurie royale non ressortissante, c'est-à-dire justice royale et bannerète..La châtellenie de Cessenon s'étend sur 30 000 ha, sur les lieux de Cessenon, Causses, Ferrières, Fraisse, Mus, Pierrerue, Prémian, Roquebrun, Saint-Nazaire-de-Ladarez, Servian, Thézan, Vayran et Vieussan. Dès le XVe siècle, ville et châtellenie se voient accorder des droits, franchises et privilèges. Une administration consulaire est en place dès le XVe siècle. Au  XVIe siècle, la châtellenie passe aux mains de la famille Fraissinet de Vessas, propriétaire du domaine de Vessas, à 3 kilomètres de Cessenon. Elle se transmet héréditairement jusqu'au XVIIe siècle. Seuls deux châtelains n'appartiennent pas à la famille Fraissinet de Vessas : Antoine de Bonnet, qui exerce la charge entre 1541 et 1556, et Pierre Trégoin de la Ricardelle entre 1632 et 1634, après que Guillaume de Vessas, allié du duc de Montmorency durant la Fronde, se soit vu confisquer la charge par le roi. Au XVIe siècle, la ville de Cessenon est touchée par les guerres de religion et son château ravagé par les troupes du capitaine Bacon en 1582 puis celles d'Henri de Joyeuse, comte de Bouchage et maréchal de France, en 1585. Pierre de Vessas, alors châtelain de Cessenon et allié du duc de Montmorency, se retourne contre ce dernie et livre la ville assiégée aux troupes de Joyeuse, Le château fortifié est détruit en 1633 à la demande des villageois alors que la famille Fraissnet n'a plus la jouissance de la châtellenie. Lous XIII accorde la destruction par une ordonnance en date du 6 octobre 1633. Il en subsiste aujourd'hui un donjon quadrangulaire de 15 mètres de haut auquel le cardinal de Cabrières adjoint trois cloches en 1921, et l'ancienne prison. En 1640, Louis XIII adjuge le comté de Pézenas, qui comprend la châtellenie de Cessenon, à Henri II de Bourbon, prince de Condé. La famille Vessas, toujours propriétaire d'un fief à Cessenon, exerce des charges à Cessenon, et notamment la justice au nom du prince de Conti, au moins jusqu'en 1760, date à laquelle elle vend ses biens et terres situées dans le terroir de Cessenon.
 
Sous l'Ancien Régime, Cessenon députait, par tour avec Cruzy, La Livinière, La Salvetat et Olargues, aux États de la province. Les paroisses de Pierrerue, Prades et Cazedarnes étaient annexes de la cure de Cessenon.
 
A la Révolution, Cessenon est érigée en chef-lieu de canton comprenant également les communes de Berlou, Roquebrun et VIeussan. Le canton est supprimé par l'arrêté des consuls en date du 3 brumaire an X et Cessenon est rattachée au troisième canton de Saint-Chinian. Le 14 janvier 1850, Cessenon perd les hameaux de Cazedarnes-le-Haut et Cazedarnes-le-Bas, érigés en commune sous le nom de Cazedarnes. Le hameau de Belesta  et les métairies de Foncaude et Verdier sont également rattachés à Cazedarnes. Le 15 mars 1900, Cessenon perd le hameau de Prades érigé en commune sous le nom de Prades-sur-Vernazobres. La commune prend officiellement le nom de Cessenon-sur-Orb le 16 janvier 1985. Au XIXe siècle, la commune entreprend des travaux d'aménagement, comme toutes les communes de France, et se dote de bâtiments publics. L'église de Cessenon est remaniée au milieu du XIXe siècle avec la construction d'une voûte dans la nef ; les portes et murailles de la ville sont démolies (porte de l'église) ou font l'objet de travaux d'entretien tout au long du siècle. La fontaine sucrée est construite en 1835 à l'emplacement d'une ancienne porte du château et rénovée en 1996. En 1866, un pont suspendu à tablier en bois est achevé et remplace le bas utilisé jusqu'à alors pour le transport entre les deux rives de l'Orb. Il est remplacé par un pont métallique en 1924, ce dernier détruit par la crue de 1930 puis reconstruit en 1931. Comme dans de nombreuses villes, le cimetière est déplacé et agrandi et une école est construite dans la seconde moitié du XIXe siècle. L'hôtel de ville n'est construit qu'à partir de la fin du XIXe siècle et l'abbatoir au début du XXe siècle.
 
Une grande partie de l'activité économique du territoire est axée sur l'Orb. L'agriculture, en particulier la culture des céréales, et l'élevage d'ovins sont prédominants au Moyen Age dans la vallée irriguée par l'Orb. On y cultive également des vergers, des plantations d'amandiers et d'oliviers, ainsi que la vigne. Plusieurs moulins à huile et à farine installés sur les bords de l'Orb sont situés sur le territoire de la commune, dont le moulin Réals. Un moulin à huile était établi dans la ville même, au numéro 7 de l'actuelle rue du moulin à huile. Il est racheté par la commune au châtelain en 1620. Ce dernier possédait un second moulin à huile. Une petite industrie se développe également dès le XVIIIe siècle, ce dont témoignent par exemple les lettres patentes sur la fabrication de l'amidon (cf. cote 74 EDT 1). Au XVIIe siècle, Louis XIV fonde une manufacture de draps d'utilité publique, qui exoirte ses produits au Levant, et est en activité jusqu'au XIXe siècle. Une riche bourgeoisie s'est établie au cours du XVIIIe siècle sur les bases de cette activité économique et occupe d'importantes charges administratives : entre la fin du XVIIe siècle et le milieu du XVIIIe siècle, les maires perpétuels sont drapiers ou négociants. Enfin, l'exploitation de carrières et de mines de marbre, lignite, grès et argile est également développée, en particulier le marbre griotte rouge de la carrière de Courniac, jusqu'en 1975. Ce marbre réputé mondialement a été utilisé dans la construction de la Maison blance à Washington D.C. Au XIXe siècle, des mines de houille sont exploitées. La tuilerie Riche est fondée en 1860 par Maurice Cathala et est ferme en 1981, suite à l'explosion du four servant à cuire la terre argileuse, en 1980. Autres vestiges de l'activité économique florissante de la commune : un four à chaux, partiellement détruit en 2007, et les traces d'une glacière ayant appartenu à la famille Fraissinet et utilisée jusqu'à la Révolution. La partie basse de la cheminée est conservée. Le moulin neuf, moulin à blé en construit en 1809 et situé sur la rive droite de l'Orb, sera reconverti en usine hydroélectrique pour alimenter la tuilerie. Située dans l'aire d'attractivité de Béziers, la ville de Cessenon peut aujourd'hui compter sur la viticulture - Cessenon est dans la zone d'appellation AOC - Saint-Chinian - et le tourisme.
 
 

Informations sur l'acquisition :

Dépôts de la commune de Cessenon (entrée n° 631, 24 juin 1964 ; entrée n° 3266, 16 décembre 1998), complété par un dépôt en date du 2 novembre 2023 (entrée n° 7785).
Historique de conservation :
L'ensemble des archives anciennes de Cessenon-sur-Orb (antérieures à 1790) est conservé en dépôt aux Archives départementales de l'Hérault. Les archives modernes (1790-1982) et contemporaines (postérieures à 1982) sont conservées dans la commune et font l'objet d'un classement de la Mission Archives du Centre de gestion de l'Hérault.

Description :

Évolutions :
Fonds ouvert
Mise en forme :
Selon le cadre de classement des archives communales de 1926.

Conditions d'accès :

Selon les lois et règlements en vigueur.

Conditions d'utilisation :

Se référer au règlement intérieur de la salle de lecture.

Description physique :

10,4 ml

Ressources complémentaires :

Séries d'archives concernant l'Ancien Régime (Avant 1789)
L'Ancien Régime n'ignore pas les documents statistiques et l'on peut consulter, dans la série C (Administration de la Province de Languedoc) les enquêtes qui présentent souvent un aspect descriptif. La série C réunit les archives des administrations provinciales (intendance, subdélégations, etc.) qui ont régulièrement donné ordre de dresser des tableaux économiques, sociaux et administratifs de la province de Languedoc.
La série G (archives du clergé séculier) peut apporter d'utiles renseignements sur la vie de la paroisse notamment par le biais des visites pastorales (les procès-verbaux de l'inspection d'une paroisse par l'évêque ou un archiprêtre renseignent sur l'état des lieux et les objets du culte, mais aussi sur le nombre d'habitants des communautés et la situation générale).
Il est aussi possible d'obtenir une estimation de la population d'un village ou d'une ville à partir des registres paroissiaux (collection du greffe conservée en sous-série 3 E). Ceux-ci permettent d'étudier de nombreux aspects de la vie : noms de famille, choix des prénoms, domiciles, professions, instruction, choix des parrains et marraines...
Enfin, la justice locale et seigneuriale peut être abordée par la série B qui conserve, entre autres documents, les archives des justices ordinaires (sous-série 10 BP).
 
Séries d'archives concernant la période révolutionnaire (1790-1800)
Une étude portant sur la période révolutionnaire implique la consultation de la série L notamment celles des municipalités de canton, des comités de surveillance et des sociétés populaires.
En sous-série 1 Q (Domaines nationaux), on pourra identifier les acquéreurs des biens nationaux et on trouvera des listes d'émigrés, de prêtres déportés, de condamnés et de détenus.
 
Séries d'archives concernant la période moderne (1800-1940)
Pour cette période, il est essentiel de dépouiller les dossiers issus des bureaux exerçant la tutelle préfectorale sur les communes, classés en série O (Administration et comptabilité communale, 1800-1940).
La sous-série 1 O rassemble la comptabilité communale, la sous-série 2 O les travaux de construction et d'entretien sur les équipements communaux (mairie, école, église et presbytère, halles, etc.) et les acquisitions/aliénations des biens communaux, le bornage ; ces dossiers sont pourvus de pièces techniques et de nombreux plans ; ils peuvent compléter les éventuelles lacunes des fonds communaux.
En 3 O on trouvera des renseignements sur les chemins vicinaux et la voirie urbaine.
En 4 O, on peut retrouver l'origine de certains biens donnés ou légués à la commune, à la paroisse, aux établissements hospitaliers et de bienfaisance, aux établissements culturels (musées).
Pour la délimitation géographique, l'érection, la fusion de communes, il faut se reporter à la sous-série 1 M (administration générale) que l'on complétera avec la sous-série 3 P (cadastre) pour l'évolution de la propriété foncière communale (notamment sa répartition, la nature des cultures, les moulins, les maisons).
Pour l'étude de la population, les sous-séries 3 E (État civil) et 6 M (Recensement de population) sont incontournables. La sous-série 6 M est essentielle pour le chercheur en histoire locale puisqu'elle regroupe les recensements de population, les statistiques démographiques, les mouvements de population, les archives relatives à l'émigration, l'immigration et aux naturalisations.
La sous-série 1 R (Recrutement de l'armée) contient des listes d'appel des classes et les registres matricules militaires.
L'histoire politique d'une commune peut être abordée par la sous-série 3 M : on trouvera notamment les dossiers des élections municipales.
La série S Travaux publics constitue également une source essentielle en ce qui concerne les ponts, la navigation intérieure, les travaux hydrauliques ou bien les carrières et mines.
Les archives relatives aux établissements scolaires sont quant à elle conservées en série T. On trouvera aussi dans cette série les inspections et les récolements des archives communales ainsi que les monuments historiques et les affaires culturelles.
Enfin, les séries V (Cultes) et X (Assistance et prévoyance sociale) regroupent les fonds des conseils de fabrique et des bureaux de bienfaisance.
 
Série W concernant l'époque contemporaine (depuis 1940)
Les fonds d'archives des administrations qui ont versé leurs documents postérieurs à 1940 peuvent éclairer l'histoire de la commune au regard de leurs domaines d'activités respectifs.
 
Iconographie
Les documents figurés comprennent tout aussi bien des cartes et plans, des gravures et dessins anciens, des reproductions photographiques, des collections de cartes postales.
 
Archives privées
Les archives personnelles, familiales et seigneuriales sont regroupées dans les séries J et E. Les archives d'érudits locaux qui permettent d'éclairer l'histoire de la commune, sont regroupées dans la série F. A noter en particulier :
11 F 321 "Inventaire du patrimoine de la commune de Cessenon-sur-Orb (Hérault) " (2005).
 
Archives notariales
Les Archives départementales conservent également les archives des études notariales. Conservés en sous-série 2 E, ces documents fournissent de précieuses informations sur la vie des habitants. On retrouve également parfois dans ces fonds des archives communales telles que des compoix ou des délibérations consulaires.
 
Bibliothèque des archives
Les Archives départementales peuvent également conserver des bulletins paroissiaux et des bulletins municipaux de la commune.
Sous-série 30 J. Archives concernant les communes de l'Hérault : 30 J 74/1
284 EDT 163. Cessenon : droit d'albergue, acte de donation, enquêtes, rapport d'expertise, requête, acte de prise de possession, verbal de nomination, dispense, notes (1308 - [XIXe siècle]).

Références bibliographiques :

AMBERT Paul, GATORZE Jacques. Les dolmens de Lugné (Cessenon, Hérault). In : Archéologie en Languedoc 1979 n° 2, pp. 39-45 (Archives départementales de l'Hérault, coté PAR 1306)

AMBERT Paul, GATORZE Jacques. Les dolmens de Lugné. In : Bulletin de la Société archéologique et historique des hauts cantons de l'Hérault 1980, n° 3, pp. 2-10 (Archives départementales de l'Hérault, coté PAR 1312)

ANGLADE Louis. Visites des carrières de Cessenon et Saint-Nazaire-de-Ladarez, les carrières du Minervois et le travail des carrières. In : Cahiers d'Arts et traditions rurales 2009, supplément au n° 20, Dossier Marbres 2, pp. 9-54 (Archives départementales de l'Hérault, coté 3024)

BARTHES Henri, BERGASSE Jean-Denis. Les archives de Cessenon : le cartulaire (1279-1757) et les inventaires des XVIe et XXe siècles. La découverte d'un traité de Guillaume Durand de Mende du XIIIe siècle. Suivi de : Les Coutumes de 1363 de Cessenon, Thézan et Servien. - In : Cahiers de la Société archéologique et littéraire de Béziers n° 19, 2008, 103 p. (Archives départementales de l'Hérault, coté PAR 4015)

BERGASSE Jean-Denis. En Languedoc et en Provence, un officier sous Louis XV : Jean-Baptiste de Milhé de Saint-Victor (1723-1813). Cessenon : éd. Jean-Denis Bergasse, 2006. 245 p. (Réseau des médiathèques Montpellier Méditerranée Métropole, coté LE9794)

BERGASSE Jean-Denis. Cessenon-sur-Orb. - Béziers : Sodiep, 1971. 84 p. (Archives départementales de l'Hérault, coté BRA 925)

BERGASSE Jean-Denis. Noblesse au village pendant la Révolution : un cas à Cessenon. in : Etudes héraultaises 1989, nouvelle série n° 5, pp. 105-118 (Archives départementales de l'Hérault, coté PAR 3714 ; également disponible sur le site des Etudes héraultaises : http://www.etudesheraultaises.fr/wp-content/uploads/Noblesse-au-village-pendant-la-R%C3%A9volution-un-cas-%C3%A0-Cessenon.pdf)
BERGASSE Jean-Denis. Paroisses et églises de Cessenon du 10e au 20e siècle : organisation de l'espace et souvenir. In : Bulletin de la Société archéologique, scientifique et littéraire de Béziers 1995-1996, 7e série, vol.7, pp. 31-38 (Archives départementales de l'Hérault, coté PAR 1313)

BERGASSE Jean-Denis, MARASSE Philippe. De l'artisanat à l'industrie dans l'Hérault : le cas exemplaire de Cessenon du XVIIIe au XXe siècle. In : Cahiers de la Société archéologique et littéraire de Béziers n° 13, 2005, 115 p. (Archives départementales de l'Hérault, coté PAR 4015)

CHEDOZEAU Bernard. Les débuts de Dom Grégoire Tarisse et la restauration de l'église de Cessenon : Une église mauriste d'avant les mauristes. In : Cahiers d'Arts et traditions rurales 2009, supplément au n° 20, Dossier Marbres 2, pp. 89-105 (Archives départementales de l'Hérault, coté 3024)

GALY Aline. Le folklore de Cessenon (Hérault). In : Folklore (Carcassonne) 1960 n° 98, pp. 3-23 (Archives départementales de l'Hérault, coté PAR 1330)

MARASSE Philippe. Un gisement de désillusion : la mine de lignite de la Matte à Cessenon (1633-1960). In : Bulletin de la Société archéologique, scientifique et littéraire de Béziers 2007-2008, 10e série, vol. 4, pp. 53-68 (Archives départementales de l'Hérault, coté PAR 1313)

Marbres de l'Aude et de l'Hérault (les): Actes de la Journée Marbre, Cessenon, 9 avril 2005. In : Cahiers d'Arts et traditions rurales 2009, supplément au n° 20, Dossier Marbres 2, pp. 89-105 (Archives départementales de l'Hérault, coté 3024)

SABATIER, DESARNAUDS. Etude sur quelques positions stratégiques et divers Châteaux-forts des environs de Béziers (Roquebrun, Montady, Cessenon, Colombières, Faugères, Caussiniojouls, Cabrerolles, Roquessels, Fousilhon, Fos, Montesquieu, Laurens, Pézènes). - In : Bulletin de la Société archéologique, scientifique et littéraire de Béziers 1887, 2e série, tome 14, pp. 59-94 (Archives départementales de l'Hérault, coté PAR 1313)

SAUGET Jean-Michel, FERRAS Catherine, OLIVE Christian. Cessenon-sur-Orb : inventaire du patrimoine d'un village héraultais. - Saint-Chinian : Syndicat mixte du Pays Haut Languedoc et Vignobles, 2008.- 151 p. (Archives départementales de l'Hérault, coté BIB 2026)

SAUGET Jean-Michel, FERRAS Catherine. Cessenon sur Orb : guide du patrimoine architectural. - Saint-Chinian : Syndicat mixte du Pays Haut Languedoc et Vignobles, 2008.- 39 p. (Archives départementales de l'Hérault, coté BRA 5605)

SEGONDY Jean. Cessenon-sur-Orb : une ancienne châtellenie royale du Saint-Ponais : la seigneurie, la communauté, le consulat, la paroisse. - Montpellier : Impr. de la Charité, 1949.- 823 p. (Archives départementales de l'Hérault, coté CRC 804)

SEGONDY Abbé. Démolition du chateau de Cessenon en 1633. In : Bulletin de la Société archéologique de Béziers", n° 10, année 1943 (Archives départementales de l'Hérault, coté PAR 1313)

SEGONDY Jean. Cessenon-sur-Orb : La seigneurie, la communauté, le consulat, la paroisse. Nîmes : éd. Lacour, 1993. 780 p. (Archives départementales de l'Hérault, coté BIB 9522)

SEGONDY Jean. Une Ancienne châtellenie royale du Saint-Ponais. La Seigneurie. La Communauté. Le Consulat. La Paroisse : Cessenon sur-Orb. Montpellier : éd. Impr. De la Charité, [Sd]. 824 p. (Archives départementales de l'Hérault, coté CRC 804)

Mises à jour :

  • Ajout des cotes 74 EDT 251-252
  • 2023

    Identifiant de l'inventaire d'archives :

    FRAD034_074EDT

    Archives départementales de l'Hérault

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